Quand la Peste ravagea Pézenas
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Quand la Peste ravagea Pézenas
par Saradhinatra Mer 5 Mai - 11:45
Sara regarda le paysage qui se dévoilait sous ses yeux. Elle eut un pincement au coeur en reconnaissant les pics escarpés, cette végétation alternant garrigue et les forêts où dominent les hêtres, sapins et autres espèces conifères. Elle ferma les yeux, savourant le chant des cigales. Il n'y avait pas de doute, elle était bien de retour sur les terres languedociennes qu'elle aimait tant.
Elle rouvrit les yeux et un sourire sincère illumina ses lèvres. Elle se tourna vers ses gardes du corps qui la suivaient. Amar chevauchait à côté de Kemar qui menait la carriole fermée.
Allons, plus vite ! Nous devons arriver avant tout le monde pour mettre à l'abri le chargement de la carriole.
Elle était vraiment pressée de voir la tête de Pézenas à la vue de l'hideux cadeau de mariage qu'elle lui avait dégoté.
Elle rouvrit les yeux et un sourire sincère illumina ses lèvres. Elle se tourna vers ses gardes du corps qui la suivaient. Amar chevauchait à côté de Kemar qui menait la carriole fermée.
Allons, plus vite ! Nous devons arriver avant tout le monde pour mettre à l'abri le chargement de la carriole.
Elle était vraiment pressée de voir la tête de Pézenas à la vue de l'hideux cadeau de mariage qu'elle lui avait dégoté.
Saradhinatra- Messages : 349
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Saradhinatra Mer 5 Mai - 11:46
[Amar et Kemar]
Les deux frères s'échangèrent un regard sous l'oeil impatient de la blonde et c'est Amar qui prit la parole :
Donà, il serait préférable de faire une pause avant d'arriver au château et de faire prendre l'air les ... il s'interrompit en indiquant par le pouce l'arrière de la carriole.
Vous ne voulez pas qu'un regrettable accident arrive au moment où le vescoms de Pézénas verra son cadeau ? rajouta-t-il en voyant la moue dubitative. Et vous savez très bien qu'à force de les maintenir isolés ainsi, c'est ce qui risque d'arriver.
____________________________
Amar et Kemar, les deux gardes du corps perses de Saradhinatra D.M.B.P., donà de L'Escura, Héraut de Toulouse
Saradhinatra- Messages : 349
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Saradhinatra Mer 5 Mai - 11:47
C'est qu'il disait vrai, le bougre. Sara pouvait aisément imaginer le rouquin allongé, bousculé, piétiné, voire même blessé. Oh, et puis zut !
Sortez les mais surveillez bien. Je ne voudrais pas les perdre et arriver les mains vides au mariage. leur lança-t-elle en sautant à terre.
Une pause lui ferait du bien aussi. C'est qu'ils avaient voyagé sans faire de halte depuis les terres de Lescure. Elle prit les rênes de Marguerite et se dirigea vers la rivière qu'elle distinguait de la route.
Arrivée sur la berge, Sara lâcha les rênes, laissant sa jument vaguer au gré de ses envies. Elle savait que cette dernière ne s'éloignerait pas de sa maîtresse. La blonde contempla la rivière qui coulait à ses pieds. La limpidité de l'eau lui donnait soudain envie d'y piquer une tête dedans. Ce n'était pas encore les lourdes chaleurs de l'été mais le soleil promettait une journée chaude et ensoleillée.
Sara retira son tabard, le plia et le déposa sur un rocher plat. Si elle ne pouvait se baigner, elle pouvait au moins se rafraichir. En chemise légère, elle s'agenouilla au bord et prit de l'eau dans le creux de ses mains pour s'asperger le visage.
ATTENTIOOOOOOOOOOOON ! Donà ! Ils arrivent sur vous !
L'avertissement arriva trop tard. Sara eut juste le temps de lever la tête avant d'être propulsée dans la rivière.
Reprenant son souffle coupé par l'eau fraiche, Sara contempla le cadeau de mariage qui gambadait dans l'eau.
AMAAAAAAAAAAR ! KEMAAAAAAAAAAAAAAR ! qu'est-ce que ce bordel ! Vous avez intérêt à avoir une bonne explication ! hurla-t-elle en essayant de sortir de la rivière.
Sortez les mais surveillez bien. Je ne voudrais pas les perdre et arriver les mains vides au mariage. leur lança-t-elle en sautant à terre.
Une pause lui ferait du bien aussi. C'est qu'ils avaient voyagé sans faire de halte depuis les terres de Lescure. Elle prit les rênes de Marguerite et se dirigea vers la rivière qu'elle distinguait de la route.
Arrivée sur la berge, Sara lâcha les rênes, laissant sa jument vaguer au gré de ses envies. Elle savait que cette dernière ne s'éloignerait pas de sa maîtresse. La blonde contempla la rivière qui coulait à ses pieds. La limpidité de l'eau lui donnait soudain envie d'y piquer une tête dedans. Ce n'était pas encore les lourdes chaleurs de l'été mais le soleil promettait une journée chaude et ensoleillée.
Sara retira son tabard, le plia et le déposa sur un rocher plat. Si elle ne pouvait se baigner, elle pouvait au moins se rafraichir. En chemise légère, elle s'agenouilla au bord et prit de l'eau dans le creux de ses mains pour s'asperger le visage.
ATTENTIOOOOOOOOOOOON ! Donà ! Ils arrivent sur vous !
L'avertissement arriva trop tard. Sara eut juste le temps de lever la tête avant d'être propulsée dans la rivière.
Reprenant son souffle coupé par l'eau fraiche, Sara contempla le cadeau de mariage qui gambadait dans l'eau.
AMAAAAAAAAAAR ! KEMAAAAAAAAAAAAAAR ! qu'est-ce que ce bordel ! Vous avez intérêt à avoir une bonne explication ! hurla-t-elle en essayant de sortir de la rivière.
Saradhinatra- Messages : 349
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Saradhinatra Mer 5 Mai - 11:48
[Amar et Kemar]
Laissant son frère s'occuper à rattraper les évadés, Kémar se précipita pour aider sa Khânom à sortir de l'eau. Une main sur une branche, il lui présenta l'autre. Quand il sentit les fins doigts s'agripper à son bras, il tira de toutes ses forces afin de la hisser sur la berge.
L'instinct de Kémar lui hurlait de rester éloigné de ce bout de petite bonne femme. Oui, il savait toujours reconnaître l'ire féminine et celle là risquait de faire vraiment mal. Il fallait vite trouver moyen de faire baisser la pression qui menaçait d'exploser. Il repoussa vivement l'idée de la replonger dans l'eau. Mauvaise idée, très mauvaise idée. L'assommer ? En repensant à la chambre d'auberge ravagée à Nimes, il chassa vite cette solution aussi. Un pas respectueux derrière sa Khânom, il la suivit, observant son attitude rigide dans le maintien de ses épaules. Pas bon, vraiment pas bon. Lui donner une masse pour qu'elle leur tape dessus ? Non, ce serait vraiment ... quoique ... oui, pourquoi ne pas lui trouver un quelconque individu louche pour qu'elle se défoule dessus ?
Regagnant la route, il chercha du regard son frère.
Saradhinatra- Messages : 349
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Cebyss Mer 5 Mai - 16:01
Elle avait mis du temps à se préparer pour ce mariage et du coup son cavalier était parti en la laissant finir de se pomponner. Fin prête elle se mit en route tranquillement, chevauchant en direction du château de Pézenas où avait lieu le mariage de son ami Bbred, toute à ses pensées et profitant du paysage.
Pour une fois elle ne serait pas seule à un mariage… cette pensée lui fit fleurir un sourire sur les lèvres, quand elle fut tiré de sa rêverie par des éclats de voix qui venaient d’en contre bas du chemin.
Des splash… des cris… Elle s’approcha…
Le tableau était surprenant…
Une rivière, deux sbires qui couraient en tout sens après l’objet de tout ce tumulte et au milieu de tout ça… une blonde dégoulinante et hurlante…
Une blonde ?... non… impossible… pourtant même dans cet état la silhouette lui était familière…
Elle descendit le talus et s’approcha. Elle aurait reconnu cette voix entre mille… c’était bien elle…
SARA… ???? Mais que se passe-t-il donc ??? Dans quel état es-tu ???
Elle glissa de sa monture et se précipita vers son amie affolée et inquiète de ce qui avait bien pu lui arriver. Elle l’aurait volontiers serré dans ses bras mais vu son état et l’air furieux qu’affichait la peste… elle s’arrêta juste devant elle.
Pour une fois elle ne serait pas seule à un mariage… cette pensée lui fit fleurir un sourire sur les lèvres, quand elle fut tiré de sa rêverie par des éclats de voix qui venaient d’en contre bas du chemin.
Des splash… des cris… Elle s’approcha…
Le tableau était surprenant…
Une rivière, deux sbires qui couraient en tout sens après l’objet de tout ce tumulte et au milieu de tout ça… une blonde dégoulinante et hurlante…
Une blonde ?... non… impossible… pourtant même dans cet état la silhouette lui était familière…
Elle descendit le talus et s’approcha. Elle aurait reconnu cette voix entre mille… c’était bien elle…
SARA… ???? Mais que se passe-t-il donc ??? Dans quel état es-tu ???
Elle glissa de sa monture et se précipita vers son amie affolée et inquiète de ce qui avait bien pu lui arriver. Elle l’aurait volontiers serré dans ses bras mais vu son état et l’air furieux qu’affichait la peste… elle s’arrêta juste devant elle.
Cebyss- Messages : 4
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Saradhinatra Mer 5 Mai - 17:02
Propulsés par la catapulte contre les murs de son château ? Non ... mort trop rapide ... il faut qu'ils souffrent ! Dextre qui se lève pour repousser une mèche mouillée qui lui tombait sur le visage. Piétiné par un troupeau de phacochères affamés ? oui ... parfaitement ... les deux ligotés, badigeonnés et laissés à la merci des sangliers ... non ... ce serait encore trop miséricordieux. Jambe qui se lève pour chasser l'eau présente dans la botte. La torture du rat qui bouffe leurs entrailles pour sortir de son seau ? Oui, ça pouvait mieux convenir à son plaisir sanguinaire. Leurs cris seraient un doux chant à ses oreilles, la blonde s'en délectait par avance.
C'est en focalisant ses pensées vers des tortures plus sanguinaires les unes que les autres, que la Peste essaya de calmer la rage qui bouillonnait en elle, suite à son plongeon forcé dans la rivière.
SARA… ????
Sara sortit de ses sombres ruminations pour tomber sur ... Ceb ?
Mais que se passe-t-il donc ??? Dans quel état es-tu ???
Revoir son amie dans ces circonstances, dans cette situation grotesque lui coupèrent la ... voix. Etonnant, non ?
Mais c'était belle et bien la vérité ... La blonde ne savait pas par où commencer et tout se bouscula dans son esprit.
Euh ... j'ai ... ils ... dans l'eau ! tout ça à cause de ce maudit rouquin ! finit-elle par lâcher avant de se laisser choir sur le bas côté de la route.
C'est avec un regard éplorant, qu'elle leva les yeux vers Ceb : que puis-je faire, Ceb ? Je ne peux pas me rendre au mariage de ce maudit rouquin dans cette tenue ! Elle n'était pas vraiment consciente de l'incohérence de ses paroles pour un profane. Mais elle n'en avait cure. Une journée qui avait si bien démarré. Soupirant de lassitude, et sous les yeux de Ceb, elle retira ses bottes l'une après l'autre pour verser l'eau dans l'herbe à côté d'elle.Que puis-je faire !
C'est en focalisant ses pensées vers des tortures plus sanguinaires les unes que les autres, que la Peste essaya de calmer la rage qui bouillonnait en elle, suite à son plongeon forcé dans la rivière.
SARA… ????
Sara sortit de ses sombres ruminations pour tomber sur ... Ceb ?
Mais que se passe-t-il donc ??? Dans quel état es-tu ???
Revoir son amie dans ces circonstances, dans cette situation grotesque lui coupèrent la ... voix. Etonnant, non ?
Mais c'était belle et bien la vérité ... La blonde ne savait pas par où commencer et tout se bouscula dans son esprit.
Euh ... j'ai ... ils ... dans l'eau ! tout ça à cause de ce maudit rouquin ! finit-elle par lâcher avant de se laisser choir sur le bas côté de la route.
C'est avec un regard éplorant, qu'elle leva les yeux vers Ceb : que puis-je faire, Ceb ? Je ne peux pas me rendre au mariage de ce maudit rouquin dans cette tenue ! Elle n'était pas vraiment consciente de l'incohérence de ses paroles pour un profane. Mais elle n'en avait cure. Une journée qui avait si bien démarré. Soupirant de lassitude, et sous les yeux de Ceb, elle retira ses bottes l'une après l'autre pour verser l'eau dans l'herbe à côté d'elle.Que puis-je faire !
Saradhinatra- Messages : 349
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Castelreng Mer 5 Mai - 18:42
A peine de retour à Narbonne qu'une missive frappée des armes de Lescure était là à l'attendre. A sa lecture il en avait fait la grimace. Bon sang d'bois ! comment avait-il put oublier ?? Et elle ? saurait-elle prendre grand soin du cadeau qu'il lui avait fourni et ce à grand frais ? !! Non elle n'y parviendrait pas, la connaissant, sa soeur allait encore faire un impair voir une catastrophe. Pourquoi donc n'était-il pas resté en Toulouse ? il aurait put s'assurer que le présent serait acheminé sans encombre. Mais non il avait décidé de rentrer à Narbonne !
Il n'avait donc pris que le temps de se changer, avait donner ordres pour qu'un cheval frais soit près à partir et dans son empressement en avait oublier la dernière ligne de la missive lui demandant d'escorter Cebyss. Tudieu ! fallait-il qu'il fasse demi-tour alors qu'il avait déjà parcouru quelques lieux? Il se posa bien la question et ce sur... quelques mètres... avant de décider que non, tant pis, qu'elle se débrouille ça lui ferait les pieds et il s'en amusa grandement. Une façon en sorte de contourner cette satané pénitence que sa soeur, héraut, hélas pour lui, lui avait collé et que seule Cebyss pouvait lever.
C'est donc le coeur léger de ce coté et angoissé de l'autre pour ce qui est du cadeau que le Seigneur de Cordas s'avançait vers les terres de Pezenas.
Parvenu proche d'un cours d'eau, son attention fut retenu par plusieurs montures et un chariot. Qui a dit ou pensé que l'homme n'était pas curieux ? D'autant curieux que les chevaux portaient couleur trop bien connues du bon homme. La pression d'un coup se relâcha, il se trouva comme par magie détendu. La peste était là, les chevaux en attestaient et donc tout s'était pour l'instant fort bien passé. Le cadeau n'avait pas souffert. Monture mise au pas, il s'avança donc tranquillement vers la charrette avec l'intention de vérifier que le présent était... comment dire... parfait ? Hum non parfait il l'était nul besoin de le vérifier. Entier alors ? oui allons y pour entier.... Voyant Amar rabaisser la bâche de la charrette, il ne chercha pas plus loin et se pensa qu'il n'y avait aucun problème du coté du cadeau. Un salut bref à l'homme, pas un mot, pas besoin. Il mit pieds à terre et laissa là sa monture pour se diriger vers des voix qu'il croyait bien reconnaitre.
Ce qu'il vit en faisant le tour du véhicule le laissa interrogatif. Si l'on ne vit jamais jusque là un homme imiter un poisson, et bien en ce mois de mai de l'an de grâce 1458 Castelreng Dict du Cougain Seigneur de cordas avait l'expression d'une carpe. Ce qu'il avait devant les yeux dépassait l'entendement. Sa soeur était là, le fondement sur la route, trempée comme si toute les pluies du ciel lui étaient tombées dessus et tirait sur ses bottes pour les vider. Cebyss lui faisait face, comme quoi il avait bien fait de ne pas faire demi tour et son fidèle Kemar se tenait derrière. Une soudaine envie de rire le prit mélangé cependant à une foudroyante colère. Quand il s'agit de Sara, Castelreng sent toujours la moutarde lui monter au nez. Il retint donc son rire et avant de se montrer se força à montrer figure mécontente. Un pas en avant afin que le trio le vit et sans attendre qu'ils soient remis de le trouver là lança d'un ton sévère.
Je vois qu'a chaque fois que je te laisse un peu trop seule il t'arrive des bricoles ! Te serais tu pris toute les pluie du Royaume ma soeur pour être mise de la sorte ? Ne me dis pas que tu as voulu profiter de l'onde fraiche que j'entends non loin ? On ne se baigne point avec ses vêtures surtout quand on est à se rendre à une cérémonie ? La folie t'aurait-elle gagné ma soeur ?
Sans attendre de réponse il se tourna vers Cebyss et lui dit avec un sourire désarmant le plus gros mensonge qu'il lui vint à l'esprit.
Ma chère Cebyss pardonne mon retard, il m'a fallu attendre une certaine dame pour l'accompagner céans et il me fallut un certain temps avant de réalisé que la chipie était déjà partie.
Il s'amusait et grandement, se sentait soulagé car présent et dame était là, Sara trempée comme une soupe était pour ses yeux, il ne faut pas le nier, un ravissement et Cebyss qui devait être à se poser des questions sur l'attente qu'il lui avait dit endurer l'enchantait au plus haut point.
Il n'avait donc pris que le temps de se changer, avait donner ordres pour qu'un cheval frais soit près à partir et dans son empressement en avait oublier la dernière ligne de la missive lui demandant d'escorter Cebyss. Tudieu ! fallait-il qu'il fasse demi-tour alors qu'il avait déjà parcouru quelques lieux? Il se posa bien la question et ce sur... quelques mètres... avant de décider que non, tant pis, qu'elle se débrouille ça lui ferait les pieds et il s'en amusa grandement. Une façon en sorte de contourner cette satané pénitence que sa soeur, héraut, hélas pour lui, lui avait collé et que seule Cebyss pouvait lever.
C'est donc le coeur léger de ce coté et angoissé de l'autre pour ce qui est du cadeau que le Seigneur de Cordas s'avançait vers les terres de Pezenas.
Parvenu proche d'un cours d'eau, son attention fut retenu par plusieurs montures et un chariot. Qui a dit ou pensé que l'homme n'était pas curieux ? D'autant curieux que les chevaux portaient couleur trop bien connues du bon homme. La pression d'un coup se relâcha, il se trouva comme par magie détendu. La peste était là, les chevaux en attestaient et donc tout s'était pour l'instant fort bien passé. Le cadeau n'avait pas souffert. Monture mise au pas, il s'avança donc tranquillement vers la charrette avec l'intention de vérifier que le présent était... comment dire... parfait ? Hum non parfait il l'était nul besoin de le vérifier. Entier alors ? oui allons y pour entier.... Voyant Amar rabaisser la bâche de la charrette, il ne chercha pas plus loin et se pensa qu'il n'y avait aucun problème du coté du cadeau. Un salut bref à l'homme, pas un mot, pas besoin. Il mit pieds à terre et laissa là sa monture pour se diriger vers des voix qu'il croyait bien reconnaitre.
Ce qu'il vit en faisant le tour du véhicule le laissa interrogatif. Si l'on ne vit jamais jusque là un homme imiter un poisson, et bien en ce mois de mai de l'an de grâce 1458 Castelreng Dict du Cougain Seigneur de cordas avait l'expression d'une carpe. Ce qu'il avait devant les yeux dépassait l'entendement. Sa soeur était là, le fondement sur la route, trempée comme si toute les pluies du ciel lui étaient tombées dessus et tirait sur ses bottes pour les vider. Cebyss lui faisait face, comme quoi il avait bien fait de ne pas faire demi tour et son fidèle Kemar se tenait derrière. Une soudaine envie de rire le prit mélangé cependant à une foudroyante colère. Quand il s'agit de Sara, Castelreng sent toujours la moutarde lui monter au nez. Il retint donc son rire et avant de se montrer se força à montrer figure mécontente. Un pas en avant afin que le trio le vit et sans attendre qu'ils soient remis de le trouver là lança d'un ton sévère.
Je vois qu'a chaque fois que je te laisse un peu trop seule il t'arrive des bricoles ! Te serais tu pris toute les pluie du Royaume ma soeur pour être mise de la sorte ? Ne me dis pas que tu as voulu profiter de l'onde fraiche que j'entends non loin ? On ne se baigne point avec ses vêtures surtout quand on est à se rendre à une cérémonie ? La folie t'aurait-elle gagné ma soeur ?
Sans attendre de réponse il se tourna vers Cebyss et lui dit avec un sourire désarmant le plus gros mensonge qu'il lui vint à l'esprit.
Ma chère Cebyss pardonne mon retard, il m'a fallu attendre une certaine dame pour l'accompagner céans et il me fallut un certain temps avant de réalisé que la chipie était déjà partie.
Il s'amusait et grandement, se sentait soulagé car présent et dame était là, Sara trempée comme une soupe était pour ses yeux, il ne faut pas le nier, un ravissement et Cebyss qui devait être à se poser des questions sur l'attente qu'il lui avait dit endurer l'enchantait au plus haut point.
Castelreng- Messages : 3
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Saradhinatra Jeu 6 Mai - 0:00
Je vois qu'a chaque fois que je te laisse un peu trop seule il t'arrive des bricoles !
Noooon ... tout mais pas lui ! Même sans lever les yeux, elle reconnaissait entre mille la voix de son frère Cast. Nomdidiou ... Tomber dans la flotte à cause de ces ..., et maintenant lui, le dernier qu'elle aurait voulu voir en ces lieux ... Pendant que son frère faisait son blabla habituel, la blonde leva les yeux aux ciel et prit à partir une sainte dont l'humour était vraiment insondable : Dis moi, Sainte Boulasse, qu'est-ce que je t'ai fait ? Hein, dis ! Pourquoi me tortures tu ainsi ? Bon sang, laches moi les chausses pour une fois et vas exercer tes farces ailleurs que sur moi !
Tout en bougonnant contre la divine, la Peste remit ses bottes et, s'aidant de Kémar qui s'était précipitait pour lui offrir sa main, se releva.
Lançant un air mauvais à son frère, elle s'avança vers lui : Bon, tu as fini de déblatérer comme un vieux curaillon ? Pas que ça à faire, moi. Si tu veux savoir, c'est à cause de toi que je suis dans cet état ! Elle se savait mauvaise langue sur le coup. Mais l'occasion était trop bonne pour décharger sa colère et le frangin avait les épaules assez costaudes pour supporter ses sarcasmes. J'aurais dû me douter que j'allais regretter d'avoir suivi tes conseils. J'aurais dû écouter Nane et acheter une armoire normande comme cadeau de mariage. Je n'aurais pas eu tous ces ennuis ! Donc tout est de ta faute ! Elle ponctua ses dernière paroles en essorant sa chemise toute trempée.
Bon ... à part ça, quelqu'un a des affaires de rechanges pour moi ? Si non, je m'allonge sur le sol, en plein soleil, pour sécher mes vêtements humides.
Noooon ... tout mais pas lui ! Même sans lever les yeux, elle reconnaissait entre mille la voix de son frère Cast. Nomdidiou ... Tomber dans la flotte à cause de ces ..., et maintenant lui, le dernier qu'elle aurait voulu voir en ces lieux ... Pendant que son frère faisait son blabla habituel, la blonde leva les yeux aux ciel et prit à partir une sainte dont l'humour était vraiment insondable : Dis moi, Sainte Boulasse, qu'est-ce que je t'ai fait ? Hein, dis ! Pourquoi me tortures tu ainsi ? Bon sang, laches moi les chausses pour une fois et vas exercer tes farces ailleurs que sur moi !
Tout en bougonnant contre la divine, la Peste remit ses bottes et, s'aidant de Kémar qui s'était précipitait pour lui offrir sa main, se releva.
Lançant un air mauvais à son frère, elle s'avança vers lui : Bon, tu as fini de déblatérer comme un vieux curaillon ? Pas que ça à faire, moi. Si tu veux savoir, c'est à cause de toi que je suis dans cet état ! Elle se savait mauvaise langue sur le coup. Mais l'occasion était trop bonne pour décharger sa colère et le frangin avait les épaules assez costaudes pour supporter ses sarcasmes. J'aurais dû me douter que j'allais regretter d'avoir suivi tes conseils. J'aurais dû écouter Nane et acheter une armoire normande comme cadeau de mariage. Je n'aurais pas eu tous ces ennuis ! Donc tout est de ta faute ! Elle ponctua ses dernière paroles en essorant sa chemise toute trempée.
Bon ... à part ça, quelqu'un a des affaires de rechanges pour moi ? Si non, je m'allonge sur le sol, en plein soleil, pour sécher mes vêtements humides.
Saradhinatra- Messages : 349
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Castelreng Jeu 6 Mai - 8:01
C'était encore plus intense que l'amusement ce que ressentait à ce moment là Castelreng. Cebyss avait encore le bec cloué quand à Sara qui venait de se relever tant bien que mal et ce, grâce à Kémar, avait grande allure dans ses loques trempées, les cheveux dégoulinant et plaqués sur le visage. Elle se serait mis une serpillière sur la tête qu'elle n'aurait pas eut meilleure allure. Un ravissement pour les yeux, un spectacle sublime, une douce vengeance pour cette soeur qui ne cessait de lui en faire voir des vertes et des pas mûres, une jubilation que d'admirer le Héraut Toulousains qui avait osé le mettre en pénitence pour des actes qu'il n'avait à se reprocher.
Aussi mouillée qu'elle fut, elle n'en avait pas pour autant perdu la langue.... dommage quand même !
Il leva un sourcil tout en l'écoutant déblatérer moult sornettes, ne chercha même pas à lui couper le sifflet tant il s'amusait à la voir sortir de ses gonds, croisa les bras avec désinvolture, eut même la galanterie de lui laisser reprendre son souffle et la toisa d'un air faussement contrit ; La pauvre chérie ! Elle était là dans un état déplorable et ce par sa faute, tout ça à cause du présent qui lui avait imposé presque argumentant que c'était beaucoup mieux qu'une affreuse armoire normande où n'importe qui aurait pu s'y cacher pour espionner ou autre chose....
Enfin bref , hochant la tête de façon à avoir l'air fortement apitoyé, il finit par lui répondre d'un ton faussement bouleversant, un éclair de méfiance dans les yeux, comprenant d'un coup que sa mise était du fait du présent choisi alors que tout portait à croire que de ce coté il n'y avait rien à redire.
Tu n'as encore pas écouté mes recommandations.... tu n'en as donc fait une fois encore qu'à ta tête ....
Il ne voulait pas savoir le pourquoi du comment, il avait passé des heures à lui dire comment faire pour que tout ce passe comme il faut. Sacrebleu ! ce n'était quand même pas sorcier que de transporter ce riche présent ! il fallait juste faire attention ! Très attention..... Mais bon sang de bois ! Il le lui avait expliqué en long en large et en travers !
En deux pas il fut sur elle, le visage proche du sien, ses yeux sévères dans les siens.
Une armoire normande..... tu m'en fais une belle tiens ! Je t'ai dis et redis que ce n'était pas présent à faire pour des épousailles ! Faut que je te le dise encore que ce genre de présent porte la poisse ? Faut encore que je te dise que c'est meuble à cacher des amants ? Tudieu Sara ! Tu voulais donc que l'anathème tombe sur ces deux tourtereaux ??
Le présent Là ! Est Par-Fait !! Cracha t-il en montrant du doigt le chariot qui remuait légèrement de gauche à droite du au fait de ce qu'il dissimulait. Il recula ensuite d'un pas ou deux, faut jamais rester trop proche d'une Sara même si celle-ci dégouline. Il prit plaisir à la regarder de pieds en cape, se tourna vers Cebyss un large sourire sur les lèvres.
J'aurais pu parier ma fortune qu'elle n'avait même pas pensé à prendre de quoi se vêtir.....
Regardant de nouveau Sara il ajouta..
Tu sècheras en route ! il ne faudrait pas qu'en plus de ton état lamentable nous arrivions en retard. J'espère au moins que tu as averti le Seigneur de Pezenas de ma présence....
Aussi mouillée qu'elle fut, elle n'en avait pas pour autant perdu la langue.... dommage quand même !
Il leva un sourcil tout en l'écoutant déblatérer moult sornettes, ne chercha même pas à lui couper le sifflet tant il s'amusait à la voir sortir de ses gonds, croisa les bras avec désinvolture, eut même la galanterie de lui laisser reprendre son souffle et la toisa d'un air faussement contrit ; La pauvre chérie ! Elle était là dans un état déplorable et ce par sa faute, tout ça à cause du présent qui lui avait imposé presque argumentant que c'était beaucoup mieux qu'une affreuse armoire normande où n'importe qui aurait pu s'y cacher pour espionner ou autre chose....
Enfin bref , hochant la tête de façon à avoir l'air fortement apitoyé, il finit par lui répondre d'un ton faussement bouleversant, un éclair de méfiance dans les yeux, comprenant d'un coup que sa mise était du fait du présent choisi alors que tout portait à croire que de ce coté il n'y avait rien à redire.
Tu n'as encore pas écouté mes recommandations.... tu n'en as donc fait une fois encore qu'à ta tête ....
Il ne voulait pas savoir le pourquoi du comment, il avait passé des heures à lui dire comment faire pour que tout ce passe comme il faut. Sacrebleu ! ce n'était quand même pas sorcier que de transporter ce riche présent ! il fallait juste faire attention ! Très attention..... Mais bon sang de bois ! Il le lui avait expliqué en long en large et en travers !
En deux pas il fut sur elle, le visage proche du sien, ses yeux sévères dans les siens.
Une armoire normande..... tu m'en fais une belle tiens ! Je t'ai dis et redis que ce n'était pas présent à faire pour des épousailles ! Faut que je te le dise encore que ce genre de présent porte la poisse ? Faut encore que je te dise que c'est meuble à cacher des amants ? Tudieu Sara ! Tu voulais donc que l'anathème tombe sur ces deux tourtereaux ??
Le présent Là ! Est Par-Fait !! Cracha t-il en montrant du doigt le chariot qui remuait légèrement de gauche à droite du au fait de ce qu'il dissimulait. Il recula ensuite d'un pas ou deux, faut jamais rester trop proche d'une Sara même si celle-ci dégouline. Il prit plaisir à la regarder de pieds en cape, se tourna vers Cebyss un large sourire sur les lèvres.
J'aurais pu parier ma fortune qu'elle n'avait même pas pensé à prendre de quoi se vêtir.....
Regardant de nouveau Sara il ajouta..
Tu sècheras en route ! il ne faudrait pas qu'en plus de ton état lamentable nous arrivions en retard. J'espère au moins que tu as averti le Seigneur de Pezenas de ma présence....
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Cebyss Ven 7 Mai - 15:44
La brune restait bouche bée du spectacle qui se déroulait sous ses yeux…
C’est donc ça… ton idée de génie pour le cadeau de mariage… j’adore !!!!
Cebyss réprima une folle envie de rire, elle s’imaginait déjà la tête du Vicomte quand il découvrirait ce fabuleux présent. Sara se désolait de devoir arriver trempée au château quand une voix gronda dans son dos… Castel se tenait la lui aussi à admirer le spectacle.
Ah tiens il ne manquait plus que toi...
La blonde se releva toujours dégoulinante, désespérée et cherchant à se justifier devant son frère. Castel grondait toujours tout en se fichant d’elle et Cebyss riait de plus belle.
Cebyss dénoua sa cape et la tendit à Sara.
Ca fait un peu cache-misère mais ça sera toujours mieux que rien et puis fais quelque chose avec tes cheveux… c’est pas possible la…
Puis se retournant vers Castel
Je suis partie sans toi en effet, j’aurai pu t’attendre longtemps tiens…, il aurait pu m’arriver mille malheurs en chemin et tu aurais été débarrassé d’une plaie, mais…
Elle le regarda, le narguant d’un sourire
Il n’y aurait plus eu personne pour lever ta peine et pénitent à vie tu serais resté… Cebyss sourit de plus belle à cette idée… Nous nous occuperons de cela dès notre retour à Narbonne. Pour l’instant on a un rouquin à marier^^. Il faut que je me remette en route on m’attend… Je vous retrouve là-bas… Et ne la lâche pas d’un œil surtout !!
Laissant Sara aux « bons soins » de son frère… La brune remonta en selle et repris la direction du château de Pezenas.
C’est donc ça… ton idée de génie pour le cadeau de mariage… j’adore !!!!
Cebyss réprima une folle envie de rire, elle s’imaginait déjà la tête du Vicomte quand il découvrirait ce fabuleux présent. Sara se désolait de devoir arriver trempée au château quand une voix gronda dans son dos… Castel se tenait la lui aussi à admirer le spectacle.
Ah tiens il ne manquait plus que toi...
La blonde se releva toujours dégoulinante, désespérée et cherchant à se justifier devant son frère. Castel grondait toujours tout en se fichant d’elle et Cebyss riait de plus belle.
Effectivement tu ne peux pas te présenter ainsi… essore toi un peu déjà et cache toi la dessous, tu vas finir par attraper la mortBon ... à part ça, quelqu'un a des affaires de rechanges pour moi ? Si non, je m'allonge sur le sol, en plein soleil, pour sécher mes vêtements humides.
Cebyss dénoua sa cape et la tendit à Sara.
Ca fait un peu cache-misère mais ça sera toujours mieux que rien et puis fais quelque chose avec tes cheveux… c’est pas possible la…
Puis se retournant vers Castel
Je suis partie sans toi en effet, j’aurai pu t’attendre longtemps tiens…, il aurait pu m’arriver mille malheurs en chemin et tu aurais été débarrassé d’une plaie, mais…
Elle le regarda, le narguant d’un sourire
Il n’y aurait plus eu personne pour lever ta peine et pénitent à vie tu serais resté… Cebyss sourit de plus belle à cette idée… Nous nous occuperons de cela dès notre retour à Narbonne. Pour l’instant on a un rouquin à marier^^. Il faut que je me remette en route on m’attend… Je vous retrouve là-bas… Et ne la lâche pas d’un œil surtout !!
Laissant Sara aux « bons soins » de son frère… La brune remonta en selle et repris la direction du château de Pezenas.
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Saradhinatra Ven 7 Mai - 23:13
Mais qu'est-ce qu'ils avaient à insister sur son état que l'on pouvait qualifié aisément de mouillé ou trempé. Elle savait bien, vu qu'elle sentait les gouttes lui dégoulinant dans le cou et la chemise qui lui collait à la peau. Même blonde, elle savait qu'elle ne pouvait guère se présenter ainsi vêtue au mariage. Au moment où elle allait éclater en imprécation contre son frère, Ceb lui tendit sa cape. L'élan injurieux fut stoppé net par ce geste ô combien amical et salvateur. Elle prit la cape et ne sut quoi dire.
Muette, notre blonde ? Que nenni ... la nature volubile de la pestouille étant si bien ancrée qu'une fois Ceb disparue à l'horizon, sur son cheval - non, rassurez vous, lecteur, la Cebyss n'entonna pas le chant du Poor lonesome cowboy, car elle rejoignait son poing d'acier adoré - qu'elle se tourna vers son frère pour lui déclarer :
Au moins elle, elle a fait un geste pour m'aider ! Pas comme un certain frangin qui se tient devant moi. Tu es là pour me tanner avec tes remarques acerbes ou tu vas te résoudre à me rendre présentable ?
T'aurais pas une peau en laine de mouton accrochée à ta selle pour que je puisse sécher rapidement mes cheveux et refaire un chignon présentable ?
Muette, notre blonde ? Que nenni ... la nature volubile de la pestouille étant si bien ancrée qu'une fois Ceb disparue à l'horizon, sur son cheval - non, rassurez vous, lecteur, la Cebyss n'entonna pas le chant du Poor lonesome cowboy, car elle rejoignait son poing d'acier adoré - qu'elle se tourna vers son frère pour lui déclarer :
Au moins elle, elle a fait un geste pour m'aider ! Pas comme un certain frangin qui se tient devant moi. Tu es là pour me tanner avec tes remarques acerbes ou tu vas te résoudre à me rendre présentable ?
T'aurais pas une peau en laine de mouton accrochée à ta selle pour que je puisse sécher rapidement mes cheveux et refaire un chignon présentable ?
Saradhinatra- Messages : 349
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Castelreng Dim 9 Mai - 13:10
FOUTREDIEU !.....
Lacha t-il avant de stopper net en regardant sa soeur alors que dans son esprit se finissait la phrase qu'il avait failli dire haut et fort.
Que le très haut me préserve des lubies de ces femelles !!! et en marmonnant entre les dents de façon incompréhensible ajouta $@#&?¤£ !!!!! Elle me les brise menu avec sa pénitence....
Lui qui était déjà quelque peu remonté comme une horloge entra dans une colère noire. Cebyss venait de prendre la poudre d'escampette sans crier gare, il n'avait rien put faire pour la retenir. quand à Sara....... Elle le prenait tout bonnement pour sa chambrière ! Elle poussait le bouchon un peu trop loin !
Les bras le long du corps, les poings serrés à s'en blanchir les jointures, il se mit à marcher à grands pas entre Sara et le chariot, tentant tant bien que mal de contenir sa rage alors que lui revenait sans cesse les paroles de la peste ".... Pas comme un certain frangin qui se tient devant moi. Tu es là pour me tanner avec tes remarques acerbes ou tu vas te résoudre à me rendre présentable ?...."
Il n'était certes pas là pour faire en sorte que la mise de cette peste soit parfaite ! Que lui importait en fait qu'elle est l'air d'un épouvantail à moineau... "T'aurais pas une peau en laine de mouton accrochée à ta selle pour que je puisse sécher rapidement mes cheveux et refaire un chignon présentable ?" Elle ne voulait pas non plus 100 écus et une crème aux amandes ???? Elle le prenait pour qui ? son larbin ????
Après donc avoir fait un certain nombre d'aller-retour en se retenant de cracher tous ce qui lui passait à l'esprit et qui ne serait pas bon de détailler céans, il se planta devant elle.
Tu m'as bien regardé !!!!! ..........
J'ai la tête d'une chambrière ?!!?!! .....
Tu me prends pour Amar ? j'ai la même figure ?!!? ....
Sers toi donc de tes affaires !!!! ...
Lui cracha t-il avant de poursuivre d'un ton narquois.
Rassures moi... tu sais que tu n'es pas là en simple promenade ? que tu te rends à des épousailles ? Tu sais également que tu y représenteras notre famille ? Tu n'es donc pas sans savoir qu'il te faut être Par-faite ! Ne me fais pas croire que tu es partie de Lescure sans ta femme de chambre et que tu n'as pas avec toi des vêtements de rechange.
Sans lui laisser le temps de rétorquer, il alla rejoindre sa monture d'un pas ferme où transparaissait encore sa fureur. D'un saut leste, il fut en selle. La monture aux pas, il vint se planter de nouveau devant Sara et de toute sa hauteur lâcha ce que sa colère lui dictait encore.
J'en ai plus que soupé de tes puérilités et de ta tête vide de bon sens Sara !
Tendant le bras vers la route que venait de prendre Cebyss il poursuivit
Quand à Elle la...... il se mordit la langue afin de ne pas laisser sortir les mots qui lui venait en évoquant Cebyss et ne lacha qu'un GR%¤@£ Débrouilles toi donc pour la rejoindre, les grilles du château ne doivent être qu'à une lieu. Que tu ressembles à une gueuse ! Que tu ne sois capable de convoyer ce présent Montrant le charriot de la main Je m'en lave les mains ! Je rentre !
La plantant là il tourna bride et reprit au grand galop la route de Narbonne. Il va s'en dire que le seigneur de Cordas ne décolérait pas, qu'il lui faudrait pour le moins, ces quelques lieux à brides abattues pour parvenir à retrouver un peu de sérénité.
Lacha t-il avant de stopper net en regardant sa soeur alors que dans son esprit se finissait la phrase qu'il avait failli dire haut et fort.
Que le très haut me préserve des lubies de ces femelles !!! et en marmonnant entre les dents de façon incompréhensible ajouta $@#&?¤£ !!!!! Elle me les brise menu avec sa pénitence....
Lui qui était déjà quelque peu remonté comme une horloge entra dans une colère noire. Cebyss venait de prendre la poudre d'escampette sans crier gare, il n'avait rien put faire pour la retenir. quand à Sara....... Elle le prenait tout bonnement pour sa chambrière ! Elle poussait le bouchon un peu trop loin !
Les bras le long du corps, les poings serrés à s'en blanchir les jointures, il se mit à marcher à grands pas entre Sara et le chariot, tentant tant bien que mal de contenir sa rage alors que lui revenait sans cesse les paroles de la peste ".... Pas comme un certain frangin qui se tient devant moi. Tu es là pour me tanner avec tes remarques acerbes ou tu vas te résoudre à me rendre présentable ?...."
Il n'était certes pas là pour faire en sorte que la mise de cette peste soit parfaite ! Que lui importait en fait qu'elle est l'air d'un épouvantail à moineau... "T'aurais pas une peau en laine de mouton accrochée à ta selle pour que je puisse sécher rapidement mes cheveux et refaire un chignon présentable ?" Elle ne voulait pas non plus 100 écus et une crème aux amandes ???? Elle le prenait pour qui ? son larbin ????
Après donc avoir fait un certain nombre d'aller-retour en se retenant de cracher tous ce qui lui passait à l'esprit et qui ne serait pas bon de détailler céans, il se planta devant elle.
Tu m'as bien regardé !!!!! ..........
J'ai la tête d'une chambrière ?!!?!! .....
Tu me prends pour Amar ? j'ai la même figure ?!!? ....
Sers toi donc de tes affaires !!!! ...
Lui cracha t-il avant de poursuivre d'un ton narquois.
Rassures moi... tu sais que tu n'es pas là en simple promenade ? que tu te rends à des épousailles ? Tu sais également que tu y représenteras notre famille ? Tu n'es donc pas sans savoir qu'il te faut être Par-faite ! Ne me fais pas croire que tu es partie de Lescure sans ta femme de chambre et que tu n'as pas avec toi des vêtements de rechange.
Sans lui laisser le temps de rétorquer, il alla rejoindre sa monture d'un pas ferme où transparaissait encore sa fureur. D'un saut leste, il fut en selle. La monture aux pas, il vint se planter de nouveau devant Sara et de toute sa hauteur lâcha ce que sa colère lui dictait encore.
J'en ai plus que soupé de tes puérilités et de ta tête vide de bon sens Sara !
Tendant le bras vers la route que venait de prendre Cebyss il poursuivit
Quand à Elle la...... il se mordit la langue afin de ne pas laisser sortir les mots qui lui venait en évoquant Cebyss et ne lacha qu'un GR%¤@£ Débrouilles toi donc pour la rejoindre, les grilles du château ne doivent être qu'à une lieu. Que tu ressembles à une gueuse ! Que tu ne sois capable de convoyer ce présent Montrant le charriot de la main Je m'en lave les mains ! Je rentre !
La plantant là il tourna bride et reprit au grand galop la route de Narbonne. Il va s'en dire que le seigneur de Cordas ne décolérait pas, qu'il lui faudrait pour le moins, ces quelques lieux à brides abattues pour parvenir à retrouver un peu de sérénité.
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Saradhinatra Dim 9 Mai - 16:57
Ethan, le frère à ces deux phénomènes de la nature, avait l'habitude de dire que les insultes qu'ils proféraient envers l'autre était une marque d'amour, que c'était le seul moyen qu'ils ont trouvé pour montrer leur attachement mutuel.
Si le blondinet avait bien jugé les deux, on pourrait dire que la réponse de Sara aux paroles de Cast démontrait un amour quasi inaliénable envers son frangin au vu de l'inventivité et l'application qu'elle mit à exprimer sa rage.
Pour des raisons bien évidentes, nous ne rapporterons pas, chers lecteurs, les jurons imagés que la Blonde proféra envers son frère. Nous irons donc vers le moment où notre pestouille sera à cours d'imagination, où elle reprendra son souffle et où son unique neurone reprendra les commandes.
Haletante, Sara essaya de se calmer et reprendre son souffle. Comment avait-il osé affirmer pareilles sornettes ? Elle, une tête dénuée de bon sens ! Mais c'est qu'il allait l'entendre quand elle aura remis la main sur lui. C'était lui qui était complètement en dehors de la plaque. Bien entendu qu'elle avait de quoi se changer. Mais elle ne pouvait pas enfiler ses habits de rechange quand elle était ainsi trempée, de la tête au pied. Il fallait qu'elle se sèche d'abord. C'est typique d'un homme de ne pas comprendre finesse féminine. Palsambleu, mais quelle mouche l'a piqué ! Il arrive, débarque de nul part, lui fait les gros yeux, l'insulte et repart ! Espèce de crabe farci avarié !
Khânom ?
Quoi ? prête à bondir à la gorge de celui qui vient de l'appeler, tellement elle était en colère.
Voulez vous que nous allumions un feu pour que vous puissiez vous réchauffer et sécher ? demanda Kémar d'une voix inquiète.
Amar qui s'était rapproché d'eux, renchérit : car à rester ainsi vêtue de vêtements mouillés, vous allez risquer d'attraper la mort. Je ne puis permettre pareille chose vous arriver, vu que je suis chargé de votre sécurité.
Devant la sollicitude de ses hommes d'armes, l'ire de la blonde retomba. Le taux d'adrénaline produit par son altercation avec son frère chuta d'un coup la laissant dans un état de lassitude.
C'est donc d'une petite voix qu'elle leur ordonna :
Oui, allumez un feu. Tant pis si j'arrive en retard au mariage. Trouvez moi aussi de quoi me sécher les cheveux.
Si le blondinet avait bien jugé les deux, on pourrait dire que la réponse de Sara aux paroles de Cast démontrait un amour quasi inaliénable envers son frangin au vu de l'inventivité et l'application qu'elle mit à exprimer sa rage.
Pour des raisons bien évidentes, nous ne rapporterons pas, chers lecteurs, les jurons imagés que la Blonde proféra envers son frère. Nous irons donc vers le moment où notre pestouille sera à cours d'imagination, où elle reprendra son souffle et où son unique neurone reprendra les commandes.
Haletante, Sara essaya de se calmer et reprendre son souffle. Comment avait-il osé affirmer pareilles sornettes ? Elle, une tête dénuée de bon sens ! Mais c'est qu'il allait l'entendre quand elle aura remis la main sur lui. C'était lui qui était complètement en dehors de la plaque. Bien entendu qu'elle avait de quoi se changer. Mais elle ne pouvait pas enfiler ses habits de rechange quand elle était ainsi trempée, de la tête au pied. Il fallait qu'elle se sèche d'abord. C'est typique d'un homme de ne pas comprendre finesse féminine. Palsambleu, mais quelle mouche l'a piqué ! Il arrive, débarque de nul part, lui fait les gros yeux, l'insulte et repart ! Espèce de crabe farci avarié !
Khânom ?
Quoi ? prête à bondir à la gorge de celui qui vient de l'appeler, tellement elle était en colère.
Voulez vous que nous allumions un feu pour que vous puissiez vous réchauffer et sécher ? demanda Kémar d'une voix inquiète.
Amar qui s'était rapproché d'eux, renchérit : car à rester ainsi vêtue de vêtements mouillés, vous allez risquer d'attraper la mort. Je ne puis permettre pareille chose vous arriver, vu que je suis chargé de votre sécurité.
Devant la sollicitude de ses hommes d'armes, l'ire de la blonde retomba. Le taux d'adrénaline produit par son altercation avec son frère chuta d'un coup la laissant dans un état de lassitude.
C'est donc d'une petite voix qu'elle leur ordonna :
Oui, allumez un feu. Tant pis si j'arrive en retard au mariage. Trouvez moi aussi de quoi me sécher les cheveux.
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par blink Mar 11 Mai - 16:08
Il avait prit la route avec beaucoup de retard... il avait du travailler longtemps sur le GFC.. il avait encore la tete remplit de missives a envoyer et de personnes a contacter pour avoir des reponses...
Il avancait sur sa monture .. ayant mit sur sa tete sa capuche pour ne pas avoir a devori croiser le regard des gens ou etre attirer par un quelconque recoin qui aurait attirer son attention..
il devait rejoindre son parrain et ami ..Urbs lui avait demander de lui tenir compagnie a un mariage il ne pouvait pas lui dire non car il aimait partager des moments et des discussions avec lui.
Et puis il fallait bien qu'il joue son role de sénéchal de la famille Valorl tout de meme.
Son cheval fit un hennissement et ce braqua ..il vit un peu plus loin su rla route un attroupement de personnes.. il ce demanda ce qu'il puovait bien s'y passer.. et prefera reprdnre sa route.. ma foi des gens rencontrer sur les chemins il n'y en manquaient point et il ferait toujours pareil.. un salut polit et continerait sa route.. sans prendre compte de la réponse...
Il avancait sur sa monture .. ayant mit sur sa tete sa capuche pour ne pas avoir a devori croiser le regard des gens ou etre attirer par un quelconque recoin qui aurait attirer son attention..
il devait rejoindre son parrain et ami ..Urbs lui avait demander de lui tenir compagnie a un mariage il ne pouvait pas lui dire non car il aimait partager des moments et des discussions avec lui.
Et puis il fallait bien qu'il joue son role de sénéchal de la famille Valorl tout de meme.
Son cheval fit un hennissement et ce braqua ..il vit un peu plus loin su rla route un attroupement de personnes.. il ce demanda ce qu'il puovait bien s'y passer.. et prefera reprdnre sa route.. ma foi des gens rencontrer sur les chemins il n'y en manquaient point et il ferait toujours pareil.. un salut polit et continerait sa route.. sans prendre compte de la réponse...
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Saradhinatra Mar 11 Mai - 17:21
Des bruits de sabots. Sara tourna sa tête vers la route, espérant voir son frère revenir vers elle. Mais c'était une silhouette capuchonnée, sur un cheval qu'elle ne connaissait.
Amar réagit aussitôt. Une main sur la garde son sabre, il déploya toute sa stature et se planta devant elle. Kémar se rapprocha immédiatement de sa Khânom, prêt à l'amener à l'abri, pendant que son frère s'occuperait de l'intrus.
Sara alla protester quand la main d'Amar se leva pour lui signifier silence. Un regard en direction du visage crispé de Kémar lui fit comprendre que quelque chose n'allait pas. Et ça avait à avoir avec le cavalier qui s'approchait, quelque chose que ces gardes du corps avait senti, pas elle. Qui était donc cette personne qui mettait ainsi à cran ses gardes du corps ?
C'est ainsi qu'ils attendirent l'approche de l'inconnu, une blonde dégoulinant entourée de deux hommes aux mines patibulaires.
Amar réagit aussitôt. Une main sur la garde son sabre, il déploya toute sa stature et se planta devant elle. Kémar se rapprocha immédiatement de sa Khânom, prêt à l'amener à l'abri, pendant que son frère s'occuperait de l'intrus.
Sara alla protester quand la main d'Amar se leva pour lui signifier silence. Un regard en direction du visage crispé de Kémar lui fit comprendre que quelque chose n'allait pas. Et ça avait à avoir avec le cavalier qui s'approchait, quelque chose que ces gardes du corps avait senti, pas elle. Qui était donc cette personne qui mettait ainsi à cran ses gardes du corps ?
C'est ainsi qu'ils attendirent l'approche de l'inconnu, une blonde dégoulinant entourée de deux hommes aux mines patibulaires.
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par blink Mer 12 Mai - 10:09
Il avancait avec lenteur et prudence comme toujours..son cheval était tendu.. comme exciter par une odeur ou une sensation.. il scruta au loin et vit.. de plus pret.. deux hommes et une dame qui avait l'air ma foi .. mal en point.. elle ressemblait de loin a une pauvre gueuse sortant d'une mare... il n'y prit pas plus attention .. car les deux hommes.. avait l'air plutot sur leurs gardes.. il en sourit.. et leva sa capuche voulant leur faire comprendre qu'il n'avait que faire de leurs personnes et ne voulait que continuer son chemin snas soucis.. posant tout de meme par sécurité sa main sur son épée. il fallait toujours etre pret au cas ou..
avancant encore, il fixa les deux hommes.. et vit que par leurs ositions il voulait défendre la donzelle.. il en sourit.. il ne devait opint etre douer a cela.. car il ce trouvait plutot en mauvaise position par rapport a lui.. et ce dit que cela allait donc lui permettre de continuer son chemin sans prendre trop d'importance a leurs yeux...
avancant encore, il fixa les deux hommes.. et vit que par leurs ositions il voulait défendre la donzelle.. il en sourit.. il ne devait opint etre douer a cela.. car il ce trouvait plutot en mauvaise position par rapport a lui.. et ce dit que cela allait donc lui permettre de continuer son chemin sans prendre trop d'importance a leurs yeux...
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Saradhinatra Mer 12 Mai - 10:46
Amar n'était pas tranquille. Le perse n'aimait pas l'individu qui s'approchait d'eux. Même si ce dernier semblait être un voyageur comme un autre, son instinct qui n'a jamais failli lui criait danger. Nul doute qu'il avait un guerrier en face de lui, il avait déjà eu cette sensation quand il se retrouvait face à face à un combattant. Croisant ses bras sur sa poitrine d'un air nonchalant pour bien montrer qu'il faisait fi du danger potentiel, il toisa l'inconnu, ses yeux détaillant et notant chaque détail.
Bonjorn l'ami, engagea-t-il la conversation, sous l'oeil étonné de Sara. Vous cherchez votre chemin ?
Bonjorn l'ami, engagea-t-il la conversation, sous l'oeil étonné de Sara. Vous cherchez votre chemin ?
Saradhinatra- Messages : 349
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par blink Ven 14 Mai - 14:52
Bonjorn l'ami, Vous cherchez votre chemin ?
Il fixa l'homme qui lui posait cet question.. il fit arreter sa monture .. quelques pas de distances pour avoir l'avantage au cas ou.. il ressentit dans l'air ambiant comme de la tension vit dans les mouvements de l'homme de la confiance mal placé.... Blink comprenait mieux que quiconque ce qui ne ce voyait pas mais ce ressentait.. son insctinct lui disait que ces commes avait de la crainte a son égard et il n'aimait pas cela... il regarda son acolyte qui était bien plus loin pres de la jeune demoiselle qui avait l'air bien habillée mais trempée jusqu'a la moelle.. les courbes de sont corps ce dessinait sur le tissus.. elle était ma foi.. fort charmante...
Il regarda a nouveau l'homme qui le toisait du regard....
Bonjour messire... je ne cherche point mon chemin.. je sait pertinement ou je doit aller et comment m'y rendre... mais je voit que pour votre cas cela n'a piont l'air de l'etre vue .."regardant a nouveau la jeune femmel'état qu'a votre donzelle.... je criot que vous feriez mieux de suivre la route les yeux ouverts au lieu de reluquer sur ces formes généreuses.... meme si il est vrai que cela serait pécher de ne point le faire .. mais je ne croit pas que cette donzelle vous ai employer pour ce genre de services..
Il sourit a l'homme et en fit de meme aux deux autres... et en profita pour faire un clin d'oeil a la jeune demoiselle ...
Il fixa l'homme qui lui posait cet question.. il fit arreter sa monture .. quelques pas de distances pour avoir l'avantage au cas ou.. il ressentit dans l'air ambiant comme de la tension vit dans les mouvements de l'homme de la confiance mal placé.... Blink comprenait mieux que quiconque ce qui ne ce voyait pas mais ce ressentait.. son insctinct lui disait que ces commes avait de la crainte a son égard et il n'aimait pas cela... il regarda son acolyte qui était bien plus loin pres de la jeune demoiselle qui avait l'air bien habillée mais trempée jusqu'a la moelle.. les courbes de sont corps ce dessinait sur le tissus.. elle était ma foi.. fort charmante...
Il regarda a nouveau l'homme qui le toisait du regard....
Bonjour messire... je ne cherche point mon chemin.. je sait pertinement ou je doit aller et comment m'y rendre... mais je voit que pour votre cas cela n'a piont l'air de l'etre vue .."regardant a nouveau la jeune femmel'état qu'a votre donzelle.... je criot que vous feriez mieux de suivre la route les yeux ouverts au lieu de reluquer sur ces formes généreuses.... meme si il est vrai que cela serait pécher de ne point le faire .. mais je ne croit pas que cette donzelle vous ai employer pour ce genre de services..
Il sourit a l'homme et en fit de meme aux deux autres... et en profita pour faire un clin d'oeil a la jeune demoiselle ...
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Saradhinatra Ven 14 Mai - 16:03
Eclat de soleil sur une lame, celle d'une épée dégainée, pointée vers l'inconnu, la réaction de Sara ne s'était pas faite attendre. Passée le moment de surprise, de gêne de voir le regard de l'homme détaillé ses formes, la lionne d'azur montrait ses griffes face à celui qui venait de l'offenser en quelques mots. Surprenant Amar et Kémar, elle s'était rapprochée et menaçait l'homme de son épée.
Foudroyant du regard le cavalier, elle lui lança, furieuse: Sachez que vous venez de m'offenser ! Je réclame réparation !
Bouges pas Amar ! aboya-t-elle quand son garde du corps fit mine de vouloir la désarmer. Toi aussi, Kémar ! Moi, votre Khânom, je vous l'ordonne ! Emeraudes dures se posèrent sur l'offenseur. D'une voix contenue, elle ordonna froidement : Déclinez votre identité ! La violente et aveugle rage avait fait place à une froide et implacable ire. La blonde savait ce qu'elle faisait. Je dois savoir si je m'occupe personnellement de votre cas ou si je laisse mes hommes régler votre compte.
Foudroyant du regard le cavalier, elle lui lança, furieuse: Sachez que vous venez de m'offenser ! Je réclame réparation !
Bouges pas Amar ! aboya-t-elle quand son garde du corps fit mine de vouloir la désarmer. Toi aussi, Kémar ! Moi, votre Khânom, je vous l'ordonne ! Emeraudes dures se posèrent sur l'offenseur. D'une voix contenue, elle ordonna froidement : Déclinez votre identité ! La violente et aveugle rage avait fait place à une froide et implacable ire. La blonde savait ce qu'elle faisait. Je dois savoir si je m'occupe personnellement de votre cas ou si je laisse mes hommes régler votre compte.
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Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par blink Mar 18 Mai - 15:40
Bruit sonore... mouvement d'air..sensation.. d'une menace.. il ne bouge pas connait déjà la distance entre lui et l'épée..il la voit brailler comme un putois.. en a un sourire d'amusement..elle est folle de rage .. encore une faute.. mais elle ce calme vite.. aurait t'elle plus d'experience que ces gardes...
Déclinez votre identitéElle avait donc plus de réactivitée.. il la scruta plus longuemment.. et vit quelle n'avait pas que des formes généreuses.. mais des habits tissés avec élégance et gout.. il vit sur elle aussi un blason... cela le fit grimacer quelque peu... encore une noble ...et il vit sur elle le tabard d'azur au fleur de lys d'or... et en plus un héraut .. bien sa veine aujourdh'ui.. il comprit mieux pourquoi cette demoiselle était entourer de ces gueux...
Il décida de jouer son jeu.. et peut etre que quand elel serait qui il était elle allait passer a autre chose.. il valait mieux pour elle de toute facon...
Je me nomme Blink de Krakov... jeune demoiselle... et je voit que vous avez la main rapide et sur.. et la langue bien pendue...vous avez bien fait de retenir vos "chiens de gardes".. ils auraient pu le regretter amerement....
Donnant un regard rapide aux deux gardes.. qui ne bougait pas ..
Vous les avez bien dresser...et vous feriez bien de vous rappeler votre éducation de nobliote... car les mots ne sont que peu de choses.. mais un acte comme le votre est bien plus offensant .. surtout envers un homme.. que vous ne connaissez point...vous avez pourtant l'habitude de faire des courbettes .. vue votre rang et votre tache.. alors continuez ainsi.. et laisser moi donc continuer ma route.. avant que je ne doive vous apprendre les choses de la vie..
La fixant avec un regard sombre pendant un laps de temsp long.. puis d'un coup.. ce met a sourire...
Mais puisque nous en sommes au présentation... a qui ai je l'honneur??
Déclinez votre identitéElle avait donc plus de réactivitée.. il la scruta plus longuemment.. et vit quelle n'avait pas que des formes généreuses.. mais des habits tissés avec élégance et gout.. il vit sur elle aussi un blason... cela le fit grimacer quelque peu... encore une noble ...et il vit sur elle le tabard d'azur au fleur de lys d'or... et en plus un héraut .. bien sa veine aujourdh'ui.. il comprit mieux pourquoi cette demoiselle était entourer de ces gueux...
Il décida de jouer son jeu.. et peut etre que quand elel serait qui il était elle allait passer a autre chose.. il valait mieux pour elle de toute facon...
Je me nomme Blink de Krakov... jeune demoiselle... et je voit que vous avez la main rapide et sur.. et la langue bien pendue...vous avez bien fait de retenir vos "chiens de gardes".. ils auraient pu le regretter amerement....
Donnant un regard rapide aux deux gardes.. qui ne bougait pas ..
Vous les avez bien dresser...et vous feriez bien de vous rappeler votre éducation de nobliote... car les mots ne sont que peu de choses.. mais un acte comme le votre est bien plus offensant .. surtout envers un homme.. que vous ne connaissez point...vous avez pourtant l'habitude de faire des courbettes .. vue votre rang et votre tache.. alors continuez ainsi.. et laisser moi donc continuer ma route.. avant que je ne doive vous apprendre les choses de la vie..
La fixant avec un regard sombre pendant un laps de temsp long.. puis d'un coup.. ce met a sourire...
Mais puisque nous en sommes au présentation... a qui ai je l'honneur??
blink- Messages : 4
Date d'inscription : 10/05/2010
Re: Quand la Peste ravagea Pézenas
par Saradhinatra Mer 19 Mai - 8:19
Je me nomme Blink de Krakov
Krakov ? Sara ne s'y attendait pas du tout. Elle avait en face d'elle un membre de cette famille à la réputation sulfureuse. Que venait faire un Krakov dans les parages ? Son passé à la prévôté lui imposait le devoir de découvrir les intentions de cet individu. Son nez de fouine frémit rien qu'à cette idée. Les propos peu amènes, voire même grossières, de ce Blink ne lui faisait ni chaud, ni froid. Elle devait découvrir pourquoi il trainait dans le coin.
Envolée la colère, c'est calmement qu'elle rangea son épée dans son fourreau, sous le regard surpris de ses hommes.
Vous avez raison, Messer. La dame que je suis ne devrait pas oublier les règles de l'étiquette. 3 contre 1, c'est bien inégale et peu noble.Par mansuétude de ma part, je vais oublier vos paroles insultantes et vous laisse continuer votre route.
Crotte de bique ! Il faut découvrir ses intentions, pas de le braquer contre elle. La vieille Berthe disait toujours : on n'attire pas les mouches avec du vinaigre.
Elle reprit mettant de côté sa langue acérée : Malgré vos paroles provocantes moué, grossières et vulgaires plutôt. je devine un homme à cheval sur le savoir vivre. Tu parles, un krakov est un krakov. Vous vous êtes présenté. A mon tour de le faire.
Je suis Saradhinatra Dict du Mas Blanc de Palafrugell, Dame de Lescure et héraut de la marche héraldique de Toulouse. Pause pour lui laisser le temps de comprendre enfin à qui il avait à faire. Je suis attendue par le Coms du Languedoc. Bon, la Poigne de fer de Narbonne me pardonnera ce pieux mensonge. pour le mariage du conseiller comtal, Monsenhèr BBred, Vescoms Pézenas. Ce dernier sera bien déçu si je n'assiste pas au jour le plus heureux de sa vie. Oui bon, le rouquin se moque comme de sa dent de lait de ma venue mais au cas où ... émeraudes sur le Krakov.
Je serais déjà au château s'il ne m'était pas arrivée un stupide accident. Blondittude au maximum. Comme un parfait adepte du savoir-vivre que vous êtes peut le constater, je ne suis pas en état de faire mon entrée. Petite mine gênée. Vous comprenez qu'il me faut me rendre présentable avant. Voyons voir si un chevalier dort dans ce corps de Krakov. Et là, je suis assez désemparée car je sais point quoi faire en si peu de temps. Œillades vers le Krakov.
Krakov ? Sara ne s'y attendait pas du tout. Elle avait en face d'elle un membre de cette famille à la réputation sulfureuse. Que venait faire un Krakov dans les parages ? Son passé à la prévôté lui imposait le devoir de découvrir les intentions de cet individu. Son nez de fouine frémit rien qu'à cette idée. Les propos peu amènes, voire même grossières, de ce Blink ne lui faisait ni chaud, ni froid. Elle devait découvrir pourquoi il trainait dans le coin.
Envolée la colère, c'est calmement qu'elle rangea son épée dans son fourreau, sous le regard surpris de ses hommes.
Vous avez raison, Messer. La dame que je suis ne devrait pas oublier les règles de l'étiquette. 3 contre 1, c'est bien inégale et peu noble.Par mansuétude de ma part, je vais oublier vos paroles insultantes et vous laisse continuer votre route.
Crotte de bique ! Il faut découvrir ses intentions, pas de le braquer contre elle. La vieille Berthe disait toujours : on n'attire pas les mouches avec du vinaigre.
Elle reprit mettant de côté sa langue acérée : Malgré vos paroles provocantes moué, grossières et vulgaires plutôt. je devine un homme à cheval sur le savoir vivre. Tu parles, un krakov est un krakov. Vous vous êtes présenté. A mon tour de le faire.
Je suis Saradhinatra Dict du Mas Blanc de Palafrugell, Dame de Lescure et héraut de la marche héraldique de Toulouse. Pause pour lui laisser le temps de comprendre enfin à qui il avait à faire. Je suis attendue par le Coms du Languedoc. Bon, la Poigne de fer de Narbonne me pardonnera ce pieux mensonge. pour le mariage du conseiller comtal, Monsenhèr BBred, Vescoms Pézenas. Ce dernier sera bien déçu si je n'assiste pas au jour le plus heureux de sa vie. Oui bon, le rouquin se moque comme de sa dent de lait de ma venue mais au cas où ... émeraudes sur le Krakov.
Je serais déjà au château s'il ne m'était pas arrivée un stupide accident. Blondittude au maximum. Comme un parfait adepte du savoir-vivre que vous êtes peut le constater, je ne suis pas en état de faire mon entrée. Petite mine gênée. Vous comprenez qu'il me faut me rendre présentable avant. Voyons voir si un chevalier dort dans ce corps de Krakov. Et là, je suis assez désemparée car je sais point quoi faire en si peu de temps. Œillades vers le Krakov.
Saradhinatra- Messages : 349
Date d'inscription : 04/05/2010
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