A la pêche aux…
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A la pêche aux…
par Aurore Sam 1 Mai - 23:04
Assise dans une voiture de location - en fait c’est très simple, elle avait le choix entre prendre une aux armes familiales et une aux armes des Carpadant, alors elle a tranché et choisit la location - en compagnie de la jeune Agnès de Carpadant, dans un silence quasi religieux… Enfin presque, ayant troqué le confort de ses sempiternels braies contre une robe, pour assister au mariage de sa cousine Alandrisse, la peste, tente de se concentrer sur le paysage plutôt que sur le vêtement qu’elle porte. De coton vert panachée de blanc, la robe rehaussée de fines broderies blanche sur le buste, dont les manches et le bas de la jupe sont garnies de galon. Pourquoi autant de détail ? Simplement parce que la peste en présence ne met que de la soie et du coton, que les broderies sont à même la peau -oui, vous l’aurez compris, elle n’a encore pas mis de chemise de lin dessous- et que cela, disons le franchement "la gratte."
Le Vicomté de Pézenas, domaine du fiancé, languedocien de son état, se trouvait… on ne sait où mais le cocher devait forcement connaitre… oui, il doit savoir où il va et c’est l’essentiel. Non parce qu’imaginer Aurore s’y rendre seule autant lui donner une carte à l’envers pour qu’elle arrive à bon port au moins… une dizaine de jours plus tard, encore que, en suivant la route elle a réussi à ne pas se perdre, mais à cheval c’est plus sûr, y’a plus de visibilité…
La voiture s’arrête, la jeune femme jette un coup d’œil furtif avant de se lever à moitié, le buste à l’extérieur. Elle allait se mettre à brailler lorsqu’elle se souvient à temps -c'est-à-dire au moment de jurer- qu’elle est le chaperon de la fille de son altesse.
Sommes-nous arrivés cocher ?
Yep m’dame.
Pouvons- nous descendre ou bien ?
Elle aurait aimé qu’il lui réponde « ou bien » mais l’homme se contenta de l’ignorer. S’il croyait qu’elle allait se laisser snober par un pécore, c’est qu’il la connaissait mal -ok, il ne la connait pas mais ce n’est pas une raison valable ! -
Pardonnez-moi Damoiselle mais n’y a-t-il personne pour vous accueillir ?
« Beuh » Onomatopée sortie tout droit de son cerveau malade, non retenu, trop vite sortie pour que la brune aux yeux tempêtes ne puisse le stopper. Signe d’intelligence moyenne chez les mammifères marins… C’est qu’à dire vrai, Bbred lui savait qu’elle venait mais il devait être occupé avec son mariage et elle avait voulu faire la surprise à sa famille en ne les prévenants pas… Ce devait être la même chose pour la jeune Carpadant.
Eh bien, pas à ma connaissance, n’y a-t-il point de garde à l’entrée ?
- Note pour plus tard, se méfier de ses écarts de langages en compagnie de sa famille ou de quiconque d’ailleurs.-
Le Vicomté de Pézenas, domaine du fiancé, languedocien de son état, se trouvait… on ne sait où mais le cocher devait forcement connaitre… oui, il doit savoir où il va et c’est l’essentiel. Non parce qu’imaginer Aurore s’y rendre seule autant lui donner une carte à l’envers pour qu’elle arrive à bon port au moins… une dizaine de jours plus tard, encore que, en suivant la route elle a réussi à ne pas se perdre, mais à cheval c’est plus sûr, y’a plus de visibilité…
La voiture s’arrête, la jeune femme jette un coup d’œil furtif avant de se lever à moitié, le buste à l’extérieur. Elle allait se mettre à brailler lorsqu’elle se souvient à temps -c'est-à-dire au moment de jurer- qu’elle est le chaperon de la fille de son altesse.
Sommes-nous arrivés cocher ?
Yep m’dame.
Pouvons- nous descendre ou bien ?
Elle aurait aimé qu’il lui réponde « ou bien » mais l’homme se contenta de l’ignorer. S’il croyait qu’elle allait se laisser snober par un pécore, c’est qu’il la connaissait mal -ok, il ne la connait pas mais ce n’est pas une raison valable ! -
Pardonnez-moi Damoiselle mais n’y a-t-il personne pour vous accueillir ?
« Beuh » Onomatopée sortie tout droit de son cerveau malade, non retenu, trop vite sortie pour que la brune aux yeux tempêtes ne puisse le stopper. Signe d’intelligence moyenne chez les mammifères marins… C’est qu’à dire vrai, Bbred lui savait qu’elle venait mais il devait être occupé avec son mariage et elle avait voulu faire la surprise à sa famille en ne les prévenants pas… Ce devait être la même chose pour la jeune Carpadant.
Eh bien, pas à ma connaissance, n’y a-t-il point de garde à l’entrée ?
- Note pour plus tard, se méfier de ses écarts de langages en compagnie de sa famille ou de quiconque d’ailleurs.-
Aurore- Messages : 2
Date d'inscription : 29/04/2010
Re: A la pêche aux…
par Agnes de Carpadant Mar 4 Mai - 18:26
Sa sœur l'avait convié... Silencieuse, douce comme on le lui avait apprit, elle avait assisté aux allégeances de ses vassaux dans cette lointaine armagnac qu'elle devrait sans doute rejoindre pour marcher sur les traces maternelle. Puis le temps, les airs plutôt lui avait porté invitation joliment calligraphié pour les noces de parfaits inconnus.. Une Montbazon, famille proche de sa mère, famille de la demoiselle de compagnie de sa mère qu'elle ne connaissait pas. L'une attirée sans doute par la lumière (^^) l'autre par le nom qu'elle avait vue inscrit dans ce lieu si peu connu et qui pourtant l'attirait tant.
Agnès avait prit la décision de suivre la Montbazon à l'étrange apparence. Jamais elle n'avait vu demoiselle si amusante dans une robe, dans sa retenue... Installée dans un coin de la banquette, Agnès s'en retint de rire et s'occupa à défroisser sa robe du jour parfaitement bien repassée acquise pour quelques centaine d'écus la veille avec sa sœur. Lâchez deux Carpadant dans une Capitale riche de soieries, étoffes et perles en tout genre, ajoutez un soupçons d'air angélique qui dissimule juste se qu'il faut du caractère familiale il en ressort une jeune fille parée d'une toilette à la dernière mode de ces contrées méridionale sans omettre les pierres et parures parisiennes qu'elle n'avait pu se défaire. Madone de douze années à peine pour simplifier, impatiente de sortir de cette voiture de location puisque il en est ainsi.
Elle tira le velours qui lui barrait la vu laissant pénétrer quelques rayons doux dans l'espace sombre qui les entourait. Le spectacle des gardes, enfin présents, jaugeant sans vergogne son chaperon ne lui plurent point, les" barbares du sud" disait son professeur, puis le laissa retomber soigneusement, scrutant sa compagne de route qui sortait.
Dame Aurore comment est votre cousine? Puis son promis le connaissez vous? Le votre va t-il vous rejoindre?
Et un flux de questions sortit sans arrêt des lèvres de l'enfant curieuse soudain. Et ce page qui n'arrivait pas....
Agnès avait prit la décision de suivre la Montbazon à l'étrange apparence. Jamais elle n'avait vu demoiselle si amusante dans une robe, dans sa retenue... Installée dans un coin de la banquette, Agnès s'en retint de rire et s'occupa à défroisser sa robe du jour parfaitement bien repassée acquise pour quelques centaine d'écus la veille avec sa sœur. Lâchez deux Carpadant dans une Capitale riche de soieries, étoffes et perles en tout genre, ajoutez un soupçons d'air angélique qui dissimule juste se qu'il faut du caractère familiale il en ressort une jeune fille parée d'une toilette à la dernière mode de ces contrées méridionale sans omettre les pierres et parures parisiennes qu'elle n'avait pu se défaire. Madone de douze années à peine pour simplifier, impatiente de sortir de cette voiture de location puisque il en est ainsi.
Elle tira le velours qui lui barrait la vu laissant pénétrer quelques rayons doux dans l'espace sombre qui les entourait. Le spectacle des gardes, enfin présents, jaugeant sans vergogne son chaperon ne lui plurent point, les" barbares du sud" disait son professeur, puis le laissa retomber soigneusement, scrutant sa compagne de route qui sortait.
Dame Aurore comment est votre cousine? Puis son promis le connaissez vous? Le votre va t-il vous rejoindre?
Et un flux de questions sortit sans arrêt des lèvres de l'enfant curieuse soudain. Et ce page qui n'arrivait pas....
Agnes de Carpadant- Messages : 8
Date d'inscription : 30/04/2010
Localisation : Poitou ou Louvre
Fiche du personnage
Nom:
Ville/Comté:
Titre: Pécore
Re: A la pêche aux…
par Sacristain Ven 14 Mai - 11:40
Ah bon dieu...
Oui un futur cureton qui blaspheme, quoi pas le droit? Courir encore et toujours tourner à droite puis à gauche faire un superbe derapage sur la gauche. Les joues qui devenaient de plus en plus rouge à ce rythme il allait finir à terre. Même pas un peu de vin de messe à se ejter sous la langue.
Hum bien le bonjour, je suis hum enfin bref peu importe je suis que là par interim. Alors pour le mariage des deux là c'est euh vous savez lire je pense.
Il glissa le parchemin dans la mimine de la brunette, elle avait l'air d'avoir le même âge que lui douze ans et des bouteilles. Un clin d'oeil et voilà le futur homme de foi repartit.
Oui un futur cureton qui blaspheme, quoi pas le droit? Courir encore et toujours tourner à droite puis à gauche faire un superbe derapage sur la gauche. Les joues qui devenaient de plus en plus rouge à ce rythme il allait finir à terre. Même pas un peu de vin de messe à se ejter sous la langue.
Hum bien le bonjour, je suis hum enfin bref peu importe je suis que là par interim. Alors pour le mariage des deux là c'est euh vous savez lire je pense.
Il glissa le parchemin dans la mimine de la brunette, elle avait l'air d'avoir le même âge que lui douze ans et des bouteilles. Un clin d'oeil et voilà le futur homme de foi repartit.
Sacristain- Messages : 7
Date d'inscription : 06/05/2010
Re: A la pêche aux…
par Aurore Sam 15 Mai - 16:43
La peste se détourne du cocher pour faire face à la jeune Carpadant. Prend une mine songeuse du moins essaie, tant la dentelle joue allégrement avec une partie cachée et rosée de sa personne. Bientôt. Elle ne pourrait cacher que très difficilement leurs éclosions mais pour l’heure, elle se devait de répondre à la gamine.
Eh bien ! Alandrisse est une personne très vivante, accueillante, avec un sacré caractère comme toutes les femmes de ma famille mais le mieux, c’est que je vous la présente, je pense que vous pourrez je pense l’apprécier à sa juste valeur. - Ca s’est fait - pensa-t-elle, Question suivante. Quant à Bbred, effectivement je le connais, nous vivons dans le même Comté et même si nous avons peu l’occasion de nous rencontrer c’est un homme fort appréciable… Mais Agnès, je ne suis pas vraiment une personne qui sait parler des gens, je ne pose que rarement de question, pour moi tout est question de ressentis. Observez, c’est le seul moyen pour vous de vous faire une idée, et une fois fait, parlez aux personnes qui vous correspondent le mieux.
Elle affiche un sourire entendu coupant net toute question. C’est pas que mais presque hein. Et puis, elle ne sait pas parler aux enfants, c’est pas qu’elle ne les aime pas (Enfin presque, elle ne supporte pas leur babillage incessant et plus c’est jeune, plus ça pu. Heureusement celle-ci à bientôt atteint l’âge de raison.) c’est juste qu’elle ne sait pas y faire avec.
Liam son page en profite pour se mettre sur le pas de la porte attendant que la jeune personne se décide à sortir. Aurore sort en lui adressant un sourire amusé. Cela fait bien longtemps que maintenant le jeune homme n’a plus eu l’occasion de jouer son rôle. Il se courbe à peine à présent trop grand pour les courbettes. (quoique niveau taille, il a l’air plus d’un géant que d’un nain, en même temps, les deux dames ne sont pas très grandes)
Tout à son explication, elle jette parfois des regards alentours au cas où. Une personne qui l’attend ou arrivée, peut être devraient-elles avancer et demander. Miracle ! Non pas vraiment un autre lutin surexcité dont elle comprend peine le langage, non mais c’est un mariage ou un rassemblement de nains ? Heureusement que le lardon remet un machin, papier ? Hein, quel toupet ! Où il se croit lui ? Il sait qui est Agnès ? Il croit comme ça qu’il peut lui donner un billet doux et devant témoin en plus ? Scélérat ! Elle va y botter l’arrière train oui ! (rappelons qu’elle n’a pipé mot de ce qu’a dit le gamin) Ni une, ni deux prend le…Vélin. « Oups »Son visage n’a pas le temps d’analyser toutes les infos, à peine son visage se ferme que déjà elle sourit, la gymnastique n’est pas aisé mais elle le maitrise à la perfection. Sourire qu’elle veut aimable malgré la cicatrice sur sa lèvre inférieure.
Hâtons-nous. J’ai un ami à voir avant que ne débute la cérémonie.
Sa main se pose délicatement sur l’ourlet de sa jupe, le remonte lentement en essayant d’oublier l’horizon qui point sous sa gorge pour aller à la recherche de son cavalier.
J’ai une personne à vous présenter, un ami que je n’ai pas vu depuis le Bourbonnais.
Et voilà la jeune femme qui se s’éloigne de la voiture, laissant le cocher toute la charge de la coche et des chevaux, après tout, il était payé pour.
Eh bien ! Alandrisse est une personne très vivante, accueillante, avec un sacré caractère comme toutes les femmes de ma famille mais le mieux, c’est que je vous la présente, je pense que vous pourrez je pense l’apprécier à sa juste valeur. - Ca s’est fait - pensa-t-elle, Question suivante. Quant à Bbred, effectivement je le connais, nous vivons dans le même Comté et même si nous avons peu l’occasion de nous rencontrer c’est un homme fort appréciable… Mais Agnès, je ne suis pas vraiment une personne qui sait parler des gens, je ne pose que rarement de question, pour moi tout est question de ressentis. Observez, c’est le seul moyen pour vous de vous faire une idée, et une fois fait, parlez aux personnes qui vous correspondent le mieux.
Elle affiche un sourire entendu coupant net toute question. C’est pas que mais presque hein. Et puis, elle ne sait pas parler aux enfants, c’est pas qu’elle ne les aime pas (Enfin presque, elle ne supporte pas leur babillage incessant et plus c’est jeune, plus ça pu. Heureusement celle-ci à bientôt atteint l’âge de raison.) c’est juste qu’elle ne sait pas y faire avec.
Liam son page en profite pour se mettre sur le pas de la porte attendant que la jeune personne se décide à sortir. Aurore sort en lui adressant un sourire amusé. Cela fait bien longtemps que maintenant le jeune homme n’a plus eu l’occasion de jouer son rôle. Il se courbe à peine à présent trop grand pour les courbettes. (quoique niveau taille, il a l’air plus d’un géant que d’un nain, en même temps, les deux dames ne sont pas très grandes)
Tout à son explication, elle jette parfois des regards alentours au cas où. Une personne qui l’attend ou arrivée, peut être devraient-elles avancer et demander. Miracle ! Non pas vraiment un autre lutin surexcité dont elle comprend peine le langage, non mais c’est un mariage ou un rassemblement de nains ? Heureusement que le lardon remet un machin, papier ? Hein, quel toupet ! Où il se croit lui ? Il sait qui est Agnès ? Il croit comme ça qu’il peut lui donner un billet doux et devant témoin en plus ? Scélérat ! Elle va y botter l’arrière train oui ! (rappelons qu’elle n’a pipé mot de ce qu’a dit le gamin) Ni une, ni deux prend le…Vélin. « Oups »Son visage n’a pas le temps d’analyser toutes les infos, à peine son visage se ferme que déjà elle sourit, la gymnastique n’est pas aisé mais elle le maitrise à la perfection. Sourire qu’elle veut aimable malgré la cicatrice sur sa lèvre inférieure.
Hâtons-nous. J’ai un ami à voir avant que ne débute la cérémonie.
Sa main se pose délicatement sur l’ourlet de sa jupe, le remonte lentement en essayant d’oublier l’horizon qui point sous sa gorge pour aller à la recherche de son cavalier.
J’ai une personne à vous présenter, un ami que je n’ai pas vu depuis le Bourbonnais.
Et voilà la jeune femme qui se s’éloigne de la voiture, laissant le cocher toute la charge de la coche et des chevaux, après tout, il était payé pour.
Aurore- Messages : 2
Date d'inscription : 29/04/2010
Re: A la pêche aux…
par Ninjaturtel Jeu 20 Mai - 19:22
Voila un petit moment qu'il était arrivé, et un gamin lui avait même donné un papier qu'il avait très rapidement regardé, en oubliant rapidement ce qui était noté dessus.
Et oui, il attendait en fait une femme... Deux en fait... Enfin... Une femme et une petite femme... Ou plutôt il ne savait pas trop. Toujours est-il qu'il les attendait. Revoyant mainte fois sa tenue, voir s'il n'y avait pas un faux pli, revoir toute les formes des caillasses autour de lui, peut être que certain se sont dégradé d'ici y'a 1 minute, revoir également les nuages bougeant et se faisant souffleté la tête par le vent, revoir aussi...
Bon voila, vous avez compris, il en a marre d'attendre !
Après tout, on les attend toujours les femmes, et pendant ce temps la on poireaute, à se demander pourquoi on est arrivé aussi tôt, pourquoi on a pas prévu moins large, pourquoi elles se sont pas dit qu'il fallait venir plus tôt... Bref, toujours les même soucis qui ne servent à rien.
A force de courage et de persévérance, de patience et de cloisonnement mental, une silhouette inespéré se dessina au loin.
Etait ce elle ? Ou alors l'imagination qui lui jouait des tours ?
Faut dire il y avait de quoi, après avoir entend attendu, il pourrait imaginé même des montagnes d'Aurore s'il le fallait.
C'est ainsi qu'il se décida à avancé vers la silhouette, ou plutôt vers les silhouette...
Et oui, il attendait en fait une femme... Deux en fait... Enfin... Une femme et une petite femme... Ou plutôt il ne savait pas trop. Toujours est-il qu'il les attendait. Revoyant mainte fois sa tenue, voir s'il n'y avait pas un faux pli, revoir toute les formes des caillasses autour de lui, peut être que certain se sont dégradé d'ici y'a 1 minute, revoir également les nuages bougeant et se faisant souffleté la tête par le vent, revoir aussi...
Bon voila, vous avez compris, il en a marre d'attendre !
Après tout, on les attend toujours les femmes, et pendant ce temps la on poireaute, à se demander pourquoi on est arrivé aussi tôt, pourquoi on a pas prévu moins large, pourquoi elles se sont pas dit qu'il fallait venir plus tôt... Bref, toujours les même soucis qui ne servent à rien.
A force de courage et de persévérance, de patience et de cloisonnement mental, une silhouette inespéré se dessina au loin.
Etait ce elle ? Ou alors l'imagination qui lui jouait des tours ?
Faut dire il y avait de quoi, après avoir entend attendu, il pourrait imaginé même des montagnes d'Aurore s'il le fallait.
C'est ainsi qu'il se décida à avancé vers la silhouette, ou plutôt vers les silhouette...
Ninjaturtel- Messages : 2
Date d'inscription : 04/05/2010
Re: A la pêche aux…
par Agnes de Carpadant Mer 26 Mai - 15:41
Un fontaine ne se tarit jamais parait-il, il en était un peu de même pour Agnès qui en écoutant la belle demoiselle avait encore un flot de questions en tête. Y aura t-il un bal? Des spectacles? Des joutes? Que se danse t-il en cette cour? Seulement le sourire d'Aurore coupa court à toute suite. La jeune fille resta sur sa faim mais bon gré mal gré suivit son ainée hors du coche puis à travers la cour du Château.
Remise sans mal de sa frustration interrogative la jeune Carpadant fit se qu'elle adorait faire en compagnie de sa sœur. Jauger les donzelles venues des quatre coins de France et de Navarre dans leur plus beaux atours. Beau si l'on veut. Celle-ci avait trop de volant, là trop de plume enfin non il n'y a jamais assez de plume, ici encore trop de velours pas assez de dentelle. Mais toutes embellissaient l'allée menant à la chapelle ahem non à un homme qu'elle ne connait pas, qui semblait manquer de patience bien que s'avançant soulagé vers Dame Aurore.
Est-ce votre ami?
La demande était sortie sans crier gare, les deux petites azurites sondèrent les traits gracile de sa compagne attendant l'instant elle choisirait sa jovialité ou bien ce faux air d'agacement qui amusait assez finalement Agnès..
Remise sans mal de sa frustration interrogative la jeune Carpadant fit se qu'elle adorait faire en compagnie de sa sœur. Jauger les donzelles venues des quatre coins de France et de Navarre dans leur plus beaux atours. Beau si l'on veut. Celle-ci avait trop de volant, là trop de plume enfin non il n'y a jamais assez de plume, ici encore trop de velours pas assez de dentelle. Mais toutes embellissaient l'allée menant à la chapelle ahem non à un homme qu'elle ne connait pas, qui semblait manquer de patience bien que s'avançant soulagé vers Dame Aurore.
Est-ce votre ami?
La demande était sortie sans crier gare, les deux petites azurites sondèrent les traits gracile de sa compagne attendant l'instant elle choisirait sa jovialité ou bien ce faux air d'agacement qui amusait assez finalement Agnès..
Agnes de Carpadant- Messages : 8
Date d'inscription : 30/04/2010
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