brouillon
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brouillon
par BBred De Lortz Mer 24 Juil - 13:43
Carcassonne dans la nuit du 14 au 11 Juillet 1461
Camp de l'armée "de que esperar la mort"
Un soir d'été comme beaucoup. L'armée comtale attendait déjà depuis de long jour un ordre, une instruction, une chasse ?
Non rien ...
La châsse avait été réservée pour d'autre visiblement.
La période était assez trouble. Il avait falllut courir jusqu'à Montpellier pour attendre une éventuelle offensive des armées royales.
Puis ensuite d'autres armées ont vu le jour, on n'avait plus forcément besoin du piscénois dans la capitale.
On lui a demandé de migrer à Carcassonne et d'attendre ...
Il avait proposé certaines activités ... mais au final ce fut un refus des autorités languedociennes d'aller poutrer Namay qui semait le chaos non loin d'ici ...
Les soldes étaient rares ...
Le camps était désert par soucis d'économie.
Il ne restait aucun soldat depuis déjà de nombreux jour. Tous libéré en attendant que l'action revienne.
Bbred attendait donc seul, en compagnie de manoeuvre et de porteurs ...
Voilà ce qui composait l'armée ... Klorysse était toutefois dans les alentours. Mais la blonde avait le feu dans les veines et il ne put lui refuser d'aller se balader le temps que la situation se décante.
Plusieurs nuit à attendre et dormir dans une tente. Un camps bien tenu toutefois, mais désepérement vide.
Plusieurs tentes étaient dressées dans un alignement parfait ... La petite brise qui faisait voler les long pant en jutes étaient bien la le seul mouvement qui animait ce camps.
On pourrait aisement s'immaginer qu'une boule de paille poussé par le vent, traversait cet ennuyeux tableau.
Debba avait laissé le piscenois au placard au cas ou il en aurait besoin ... Le au cas ou commençait à faire long néanmoins...
Jusqu'a ce fameux pigeon du Capitaine de l'Ost ...
Bbred fut surpris de le trouver à une fin d'apres midi. tout juste envoyé des locaux de l'OST.
Sans plus attendre, reconnaissant l'expediteur, il l'ouvrit pour en découvrir le contenu.
L'impatience se lisait sur son visage, c'était bien l'une des seules nouvelles qu'il recevait en dehors de ses correspondances vassaliques et matrimoniales.
Urgence, Alerte !
Entre dans la ville et met toi en concentration quoiqu'il arrive.
Xim doit te laisser entrer.
Bbred sourit enfin ... même s'il ne doutait pas que le but était surtout de laisser passer un certain Riwen, il y avait enfin de quoi faire. Pourtant il ne s'agissait là que d'une petite manoeuvre simple et rapide ... Mais le Capitaine Debba se rappelait enfin qu'il existait.
Il prit ça comme un peu de considération. On se rassure comme on peut aprés tout.
il prit sa plume pour écrire au maire Xim.
En quelques mots il avait résumé la situation, le courrier était partie.
Il se dressa au milieu du camps pour appeler l'ensemble du personnel.
Les porteurs se préparaient à lever le camps.
Ils attendirent tard dans la nuit. Le temps de tout préparer et que Carcassonne se prépare également à les recevoir.
Une place, un grand pré, Xim avait du surement prévoir la place suffisante.
Un dernier coup d'oeil pour ne rien laisser en place ...
Puis ce fut en direction des murs de Carcassonne qu'ils se dirigerent.
L'immense porte de la ville fortifié la plus à l'ouest du Languedoc se dressait devant eux.
Cette ville ou reignait Jadis le seigneur d'Exat et de Portes ...
De rapide souvenir émergeait dans la tête du piscenois ...
Carcassonne où les jeux innoncents avec la fille du terrible baron se tenait.
Ou cette innoncence avait fait place à une amourette ...
Amourette toutefois barré plus tard par la terrible réalité.
Majda avait du prendre pour époux un homme d'un meilleur partie sous l'influence de sa famille.
La ou elle s'etait convaincu d'aimer un homme qui apporterait beaucoup plusau clan que le pauvre bailli qu'il était à l'époque.
Cette terrible déception avait terriblement changé l'ours de Pézenas par la suite.
Son caractère s'était forgé suite à cette échec.
D'innoncent et jovial il était passé d'opportuniste, travailleur, dur et impulsif. Il ressemblait aujourdh'ui étrangement au baron d'Exat lui même sur certain détails.
Tout ça pour se faire un noms, une carriere pour ne plus jamais être dénigré de la sorte.
Cette ville lui rappellait cet échec.
De cette femme qu'il avait perdu parce qu'il n'était rien encore.
Cette amie ensuite morte qu'il n'a pu sauver.
Le destin est parfois cruelle, mais il réserve son lot de surprise.
Il épousa plus tard son amour d'enfance, une femme tout aussi compliqué et impulsif que lui.
Mais cette ville rprésnetait toujours cette blessure jamais réellement refermée.
Une boule au ventre qui sans cesse revenait plus grosse à chaque pas en direction de Carcassonne le Joyau.
Une fois à hauteur de la porte, il cria :
LAISSEZ PASSER L'ARMEE LANGUEDOCIENNE DU CHEF BBRED DE LORTZ, PAR ORDRE DU CAPITAINE DEBBA
Aucune réponse ...
Curieux il attendit encore quelques secondes...
Tout à coup, une armée jet de pierre du haut des murailles s'ecrasa sur le convoint. Les porteurs furent tous massacré sous l'amat de pierre. Inexepérimenté en combat, leur triste sort fut scellé aussi rapidement.
Le sang langudoecien se répandit sur le sol.
Le piscenois ne put comme ses camardes equiver ce "cadeau de bienvenu".
L'épaule fracassé, la tête ensanglanté, la jambe cassée, il se redressa à peine avant de voir la porte s'entreouvrir dans l'obscurité de la nuit qui promettait d'être rouge.
Pouah ! Félonie ! Montrez vous soldats du sans noms !
Titubant, il ne compris rien à ce qui lui arrivait.
Jaissant de la porte, les diablotins qui n'était en fait que la milice, se jeterent sur ce qui restait du chef de l'armée !
Il repoussa d'abord un premier assaut du plus pressé d'entre.
Un bon coup de coude bien placé.
Il n'arrivait à peine à soulever sa propre épée. L'art du combat dans ces conditions en deviens plus que difficile.
Il parat un second coup et tenté de contenir le second assaut tant bien que mal.
Un coup de baton vint lui chatouiller les homoplates...
Il mit un genoux à terre avant d'essayer de se redresser pour se jeter sur l'ennemie venant par derrière.
Il ne distribua que quelques coups maladroitement envoyé dans un geste de désespoir.
Puis l'épée à la main, il recula avec ce qu'il lui restait de force.
La vision flou, sentant son heure venue, il prit ses dernieres forces pour mettre à mal ses adversaires.
Le combat tourna rapidement à son désavantage.
Un coup d'épée plongé prêt de la côtes eut raison de lui....
Il s'écroula ensuite .... Le sang piscenois s'étalant sur la terre d'Oc qu'il avait tant chérie ....
Un voile noir s'abbatit sur sa vision avant que son souffle ne se fasse de plus en plus en léger ...
Les milciens le laissairent ainsi ...
Camp de l'armée "de que esperar la mort"
Un soir d'été comme beaucoup. L'armée comtale attendait déjà depuis de long jour un ordre, une instruction, une chasse ?
Non rien ...
La châsse avait été réservée pour d'autre visiblement.
La période était assez trouble. Il avait falllut courir jusqu'à Montpellier pour attendre une éventuelle offensive des armées royales.
Puis ensuite d'autres armées ont vu le jour, on n'avait plus forcément besoin du piscénois dans la capitale.
On lui a demandé de migrer à Carcassonne et d'attendre ...
Il avait proposé certaines activités ... mais au final ce fut un refus des autorités languedociennes d'aller poutrer Namay qui semait le chaos non loin d'ici ...
Les soldes étaient rares ...
Le camps était désert par soucis d'économie.
Il ne restait aucun soldat depuis déjà de nombreux jour. Tous libéré en attendant que l'action revienne.
Bbred attendait donc seul, en compagnie de manoeuvre et de porteurs ...
Voilà ce qui composait l'armée ... Klorysse était toutefois dans les alentours. Mais la blonde avait le feu dans les veines et il ne put lui refuser d'aller se balader le temps que la situation se décante.
Plusieurs nuit à attendre et dormir dans une tente. Un camps bien tenu toutefois, mais désepérement vide.
Plusieurs tentes étaient dressées dans un alignement parfait ... La petite brise qui faisait voler les long pant en jutes étaient bien la le seul mouvement qui animait ce camps.
On pourrait aisement s'immaginer qu'une boule de paille poussé par le vent, traversait cet ennuyeux tableau.
Debba avait laissé le piscenois au placard au cas ou il en aurait besoin ... Le au cas ou commençait à faire long néanmoins...
Jusqu'a ce fameux pigeon du Capitaine de l'Ost ...
Bbred fut surpris de le trouver à une fin d'apres midi. tout juste envoyé des locaux de l'OST.
Sans plus attendre, reconnaissant l'expediteur, il l'ouvrit pour en découvrir le contenu.
L'impatience se lisait sur son visage, c'était bien l'une des seules nouvelles qu'il recevait en dehors de ses correspondances vassaliques et matrimoniales.
Urgence, Alerte !
Entre dans la ville et met toi en concentration quoiqu'il arrive.
Xim doit te laisser entrer.
Bbred sourit enfin ... même s'il ne doutait pas que le but était surtout de laisser passer un certain Riwen, il y avait enfin de quoi faire. Pourtant il ne s'agissait là que d'une petite manoeuvre simple et rapide ... Mais le Capitaine Debba se rappelait enfin qu'il existait.
Il prit ça comme un peu de considération. On se rassure comme on peut aprés tout.
il prit sa plume pour écrire au maire Xim.
Xim,
Bonjour,
assure toi d'avoir suivit les consignes du Capitaine Debba et d'avoir mit mon armée en ami pour que je puisse entrer dans les murs, je ne tiens pas à me faire fracasser à la porte.
BBDL
En quelques mots il avait résumé la situation, le courrier était partie.
Il se dressa au milieu du camps pour appeler l'ensemble du personnel.
Les porteurs se préparaient à lever le camps.
Ils attendirent tard dans la nuit. Le temps de tout préparer et que Carcassonne se prépare également à les recevoir.
Une place, un grand pré, Xim avait du surement prévoir la place suffisante.
Un dernier coup d'oeil pour ne rien laisser en place ...
Puis ce fut en direction des murs de Carcassonne qu'ils se dirigerent.
L'immense porte de la ville fortifié la plus à l'ouest du Languedoc se dressait devant eux.
Cette ville ou reignait Jadis le seigneur d'Exat et de Portes ...
De rapide souvenir émergeait dans la tête du piscenois ...
Carcassonne où les jeux innoncents avec la fille du terrible baron se tenait.
Ou cette innoncence avait fait place à une amourette ...
Amourette toutefois barré plus tard par la terrible réalité.
Majda avait du prendre pour époux un homme d'un meilleur partie sous l'influence de sa famille.
La ou elle s'etait convaincu d'aimer un homme qui apporterait beaucoup plusau clan que le pauvre bailli qu'il était à l'époque.
Cette terrible déception avait terriblement changé l'ours de Pézenas par la suite.
Son caractère s'était forgé suite à cette échec.
D'innoncent et jovial il était passé d'opportuniste, travailleur, dur et impulsif. Il ressemblait aujourdh'ui étrangement au baron d'Exat lui même sur certain détails.
Tout ça pour se faire un noms, une carriere pour ne plus jamais être dénigré de la sorte.
Cette ville lui rappellait cet échec.
De cette femme qu'il avait perdu parce qu'il n'était rien encore.
Cette amie ensuite morte qu'il n'a pu sauver.
Le destin est parfois cruelle, mais il réserve son lot de surprise.
Il épousa plus tard son amour d'enfance, une femme tout aussi compliqué et impulsif que lui.
Mais cette ville rprésnetait toujours cette blessure jamais réellement refermée.
Une boule au ventre qui sans cesse revenait plus grosse à chaque pas en direction de Carcassonne le Joyau.
Une fois à hauteur de la porte, il cria :
LAISSEZ PASSER L'ARMEE LANGUEDOCIENNE DU CHEF BBRED DE LORTZ, PAR ORDRE DU CAPITAINE DEBBA
Aucune réponse ...
Curieux il attendit encore quelques secondes...
Tout à coup, une armée jet de pierre du haut des murailles s'ecrasa sur le convoint. Les porteurs furent tous massacré sous l'amat de pierre. Inexepérimenté en combat, leur triste sort fut scellé aussi rapidement.
Le sang langudoecien se répandit sur le sol.
Le piscenois ne put comme ses camardes equiver ce "cadeau de bienvenu".
L'épaule fracassé, la tête ensanglanté, la jambe cassée, il se redressa à peine avant de voir la porte s'entreouvrir dans l'obscurité de la nuit qui promettait d'être rouge.
Pouah ! Félonie ! Montrez vous soldats du sans noms !
Titubant, il ne compris rien à ce qui lui arrivait.
Jaissant de la porte, les diablotins qui n'était en fait que la milice, se jeterent sur ce qui restait du chef de l'armée !
Il repoussa d'abord un premier assaut du plus pressé d'entre.
Un bon coup de coude bien placé.
Il n'arrivait à peine à soulever sa propre épée. L'art du combat dans ces conditions en deviens plus que difficile.
Il parat un second coup et tenté de contenir le second assaut tant bien que mal.
Un coup de baton vint lui chatouiller les homoplates...
Il mit un genoux à terre avant d'essayer de se redresser pour se jeter sur l'ennemie venant par derrière.
Il ne distribua que quelques coups maladroitement envoyé dans un geste de désespoir.
Puis l'épée à la main, il recula avec ce qu'il lui restait de force.
La vision flou, sentant son heure venue, il prit ses dernieres forces pour mettre à mal ses adversaires.
Le combat tourna rapidement à son désavantage.
Un coup d'épée plongé prêt de la côtes eut raison de lui....
Il s'écroula ensuite .... Le sang piscenois s'étalant sur la terre d'Oc qu'il avait tant chérie ....
Un voile noir s'abbatit sur sa vision avant que son souffle ne se fasse de plus en plus en léger ...
Les milciens le laissairent ainsi ...
BBred De Lortz- Maïtre(sse) des lieux
- Messages : 879
Date d'inscription : 06/05/2009
Fiche du personnage
Nom: Bbred de Lortz
Ville/Comté: Pézenas - Béziers / Languedoc
Titre: Comte(sse)
Re: brouillon
par Klorysse Mer 24 Juil - 14:32
Plusieurs jours qu'ils étaient là, à Carcassonne. La ville était calme .. trop calme même.
C'était un jour comme les autres, le soleil tapait dur,... encore... normal vous me direz puisque c'est l'été.
Parfois une petite brise venait légèrement rafraîchir l'espace d'une ou deux petites secondes... seulement !
Postée à l'ombre sous un arbre Klo regardait les paysans non loin s'affairer aux moissons .
Elle arracha un brin d'herbe et jouait avec. Il est bon parfois de flâner.
Bien sur elle n'était jamais loin du camp au cas où le roux aurait besoin d'elle.
Quoique selon son humeur à la blonde elle feignait l'entendre et laissait son valet la chercher.
Elle faisait ce qu'elle veut quitte à se faire engueuler, sauf qu'on l'engueulait pas car il n'y avait rien de spécifique à faire.
Pour faire court, ils s'emmerdaient là à attendre un signe, quelque chose à faire.
Le comte avait bien quelques idées, ça il n'en manquait pas!
Personne n'aurait pu se douter encore de ce qui allait se produire quelques heures plus tard.
L'après midi touchant à sa fin, la blonde se décida à se lever pour s'en retourner au village, aller faire un tour en taverne et peut être y rencontrer quelque âme qui vive.
Elle y passa une bonne partie de la soirée, prenant quelques bonnes tisanes, elle ne buvait jamais d'alcools la blonde, discuter, dire des bêtises surtout et rire aussi avec quelques habitants sympathiques.
Et bien sur, les heures passaient, et Klo en oublia la levée du camp. Elle arriva et ... plus personne!
Elle pinca ses lèvres puis, comme tout était calme, elle s'installa prés du feu.
De toute façon le roux était fort rien ne pourrait lui arriver, et c'est toujours dans ces cas là, où l'on croit que rien n'arrive ... que ça arrive.
Elle était là, somnolente à regarder les petites flammes danser et elle crut entendre les entrechoquements d'épées non loin.
Elle n'y prêta guère attention, la fatigue lui jouait des tours surement, c'est bien connu.
En plus la nuit, tout est presque silence, sauf les grillons qui chantent, les hiboux qui hululent, et d'autres animaux diurnes... et toujours ces entrechoquements d'épées qui résonnaient encore.
Elle finit par se lever d'un bond écoutant attentivement d'où cela provenait exactement avant de courir en direction de cet affrontement.
Un duel la nuit?
Non, c'était toujours en journée.
Elle se cacha derrière un arbre en entendant des bruits de pas, entre temps les bruits avaient cessés, et quelques instants après vit un groupe de personnes, elle pensa que ce fut les défenseurs de Carcassonne tourner, on ne sait jamais des fois qu'ils la prennent pour une brigande.
Elle attendit qu'ils se furent éloignés pour sortir de derrière les buissons et reprit la direction d'où les bruits lui étaient parvenus sans se douter de ce qu'elle allait découvrir un peu plus loin.
Un homme gisait par terre ... pas mort apparemment puisqu'il gémissait.
Elle pensa tout d'abord à un brigand, parfois des inconscients s'attaquent seuls à un petit groupe se pensant plus forts, mais en approchant elle reconnut le roux salement amoché baignant dans son sang.
Elle releva la tête cherchant des yeux rapidement autour d'eux paniquée.
Elle n'allait pas le laisser là et, prenant son courage à deux mains, glissa ses mains par dessous ses aisselles et le traîna jusqu'au camp.
Il était pas des plus léger le roux!
Elle en sua des grosses gouttes de l'avoir traîné!
Elle le déposa dans sa tente et alla réveiller son valet, non sans le secouer comme un prunier, c'est la saison des prunes , et lui donner des coups de pieds pour qu'il réagisse au plus vite.
La blonde n'était pas des plus tendres mais fallait pas rester là à rêvasser, ça urgeait!!
" Réveille toi grosse feignasse, le comte vient de prendre une dérouillée pendant que tu pionces bougre de bon à rien!! Démerde et ramène un médecin pour le soigner! Et pas un charlatan sinon je te promets une belle rouste! Allé file!! pas de temps à perdre!! "
La blonde mit son pieds aux fesses du valet qui déguerpi aussitôt sans broncher et elle retourna à la tente du roux le déshabiller.
Elle y allait doucement, il avait pas mal morflé.
Des ecchymoses plein le visage, des coups d'épée un peu partout, le corps était sanguinolent.
Elle prit un casque, fallait bien trouver quelque chose, le remplit d'eau, non loin se trouvait une rivière, attrapa une chemise du roux et en déchira un morceau qu'elle trempa ensuite pour le laver de son sang.
Fallait bien s'occuper de lui en attendant. Doucement elle lui parlait pour qu'il reste conscient même s'il avait les yeux fermés.
Elle savait qu'il l'entendait ...
C'était un jour comme les autres, le soleil tapait dur,... encore... normal vous me direz puisque c'est l'été.
Parfois une petite brise venait légèrement rafraîchir l'espace d'une ou deux petites secondes... seulement !
Postée à l'ombre sous un arbre Klo regardait les paysans non loin s'affairer aux moissons .
Elle arracha un brin d'herbe et jouait avec. Il est bon parfois de flâner.
Bien sur elle n'était jamais loin du camp au cas où le roux aurait besoin d'elle.
Quoique selon son humeur à la blonde elle feignait l'entendre et laissait son valet la chercher.
Elle faisait ce qu'elle veut quitte à se faire engueuler, sauf qu'on l'engueulait pas car il n'y avait rien de spécifique à faire.
Pour faire court, ils s'emmerdaient là à attendre un signe, quelque chose à faire.
Le comte avait bien quelques idées, ça il n'en manquait pas!
Personne n'aurait pu se douter encore de ce qui allait se produire quelques heures plus tard.
L'après midi touchant à sa fin, la blonde se décida à se lever pour s'en retourner au village, aller faire un tour en taverne et peut être y rencontrer quelque âme qui vive.
Elle y passa une bonne partie de la soirée, prenant quelques bonnes tisanes, elle ne buvait jamais d'alcools la blonde, discuter, dire des bêtises surtout et rire aussi avec quelques habitants sympathiques.
Et bien sur, les heures passaient, et Klo en oublia la levée du camp. Elle arriva et ... plus personne!
Elle pinca ses lèvres puis, comme tout était calme, elle s'installa prés du feu.
De toute façon le roux était fort rien ne pourrait lui arriver, et c'est toujours dans ces cas là, où l'on croit que rien n'arrive ... que ça arrive.
Elle était là, somnolente à regarder les petites flammes danser et elle crut entendre les entrechoquements d'épées non loin.
Elle n'y prêta guère attention, la fatigue lui jouait des tours surement, c'est bien connu.
En plus la nuit, tout est presque silence, sauf les grillons qui chantent, les hiboux qui hululent, et d'autres animaux diurnes... et toujours ces entrechoquements d'épées qui résonnaient encore.
Elle finit par se lever d'un bond écoutant attentivement d'où cela provenait exactement avant de courir en direction de cet affrontement.
Un duel la nuit?
Non, c'était toujours en journée.
Elle se cacha derrière un arbre en entendant des bruits de pas, entre temps les bruits avaient cessés, et quelques instants après vit un groupe de personnes, elle pensa que ce fut les défenseurs de Carcassonne tourner, on ne sait jamais des fois qu'ils la prennent pour une brigande.
Elle attendit qu'ils se furent éloignés pour sortir de derrière les buissons et reprit la direction d'où les bruits lui étaient parvenus sans se douter de ce qu'elle allait découvrir un peu plus loin.
Un homme gisait par terre ... pas mort apparemment puisqu'il gémissait.
Elle pensa tout d'abord à un brigand, parfois des inconscients s'attaquent seuls à un petit groupe se pensant plus forts, mais en approchant elle reconnut le roux salement amoché baignant dans son sang.
Elle releva la tête cherchant des yeux rapidement autour d'eux paniquée.
Elle n'allait pas le laisser là et, prenant son courage à deux mains, glissa ses mains par dessous ses aisselles et le traîna jusqu'au camp.
Il était pas des plus léger le roux!
Elle en sua des grosses gouttes de l'avoir traîné!
Elle le déposa dans sa tente et alla réveiller son valet, non sans le secouer comme un prunier, c'est la saison des prunes , et lui donner des coups de pieds pour qu'il réagisse au plus vite.
La blonde n'était pas des plus tendres mais fallait pas rester là à rêvasser, ça urgeait!!
" Réveille toi grosse feignasse, le comte vient de prendre une dérouillée pendant que tu pionces bougre de bon à rien!! Démerde et ramène un médecin pour le soigner! Et pas un charlatan sinon je te promets une belle rouste! Allé file!! pas de temps à perdre!! "
La blonde mit son pieds aux fesses du valet qui déguerpi aussitôt sans broncher et elle retourna à la tente du roux le déshabiller.
Elle y allait doucement, il avait pas mal morflé.
Des ecchymoses plein le visage, des coups d'épée un peu partout, le corps était sanguinolent.
Elle prit un casque, fallait bien trouver quelque chose, le remplit d'eau, non loin se trouvait une rivière, attrapa une chemise du roux et en déchira un morceau qu'elle trempa ensuite pour le laver de son sang.
Fallait bien s'occuper de lui en attendant. Doucement elle lui parlait pour qu'il reste conscient même s'il avait les yeux fermés.
Elle savait qu'il l'entendait ...
Klorysse- Soldat
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Date d'inscription : 19/11/2010
Re: brouillon
par Klorysse Mar 30 Juil - 18:17
[ Carcassonne quelques jours plus tard ]
Après avoir lavé le corps du roux, le valet revint seul. Il était tout en sueur d'avoir couru mais qu'importe.
A chaque geste de Klo, le valet avait un sursaut. Il craignait une gifle.
Ce n'était pas l'envie qui lui manquait à la Klo car le valet était là prés d'elle la génant dans ses gestes.
Mais Klo sa préoccupation première était plutôt de tenter de sauver le roux que de rouster le valet.
Elle recouvra le corps du comte d'un drapé, sale certes il n'y avait que ça, et sortit de la tente.
Elle fit les cent pas réfléchissant à une solution.
Le temps était compté!
En se baladant quelques jours plus tôt, elle se souvint être passée devant une herboristerie.
Elle rentra dans la tente et fit atteler une charrette par le valet qui s'executa aussitôt sans broncher ayant bien compris que la vie du comte était en danger.
Il aida Klo à monter le comte dans la charrette, le déposant le plus doucement possible sur une litière de fortune, un lit de paille recouvert d'une cape appartenant au comte.
Puis, elle recouvrit le corps pour ne pas qu'on le reconnaisse au cas où ils croiseraient quelqu'un avant de tout débarrasser au camp, rangeant leurs affaires dans la charrette avec le corps inerte du comte.
Ils prirent la route et quelques heures après, arrivèrent chez l'herboriste.
Klo descendit et alla trouver la femme, lui expliquant que leur venue devait rester secrète, qu'elle serait grassement payée pour son silence.
Son travail serait de soigner l'homme important qui se trouvait dans la charrette.
Naturellement elle accepta, Klo ayant sorti une des bourses pleine du comte et lui donna quelques écus en accompte.
Elle en aurait encore d'autres , beaucoup d'autres plus tard ....
Elle les aida à descendre le comte, toujours inerte, et ils le rentrèrent dans la maison où ils purent le coucher dans une pièce propre.
De là , la femme se mit de suite à préparer onguents et baumes pour le soigner, Klo ne manquant pas d'avoir remarqué l'air sceptique de son visage en voyant les plaies sur le corps du roux.
Elle donna l'ordre au valet de cacher la charrette dans une grange sur le côté de la maison et elle griffonna un mot qu'elle fit porter par le valet ensuite, sans oublier de lui préciser qu'il ne devait absolument pas dire où ils se trouvaient.
Après avoir lavé le corps du roux, le valet revint seul. Il était tout en sueur d'avoir couru mais qu'importe.
A chaque geste de Klo, le valet avait un sursaut. Il craignait une gifle.
Ce n'était pas l'envie qui lui manquait à la Klo car le valet était là prés d'elle la génant dans ses gestes.
Mais Klo sa préoccupation première était plutôt de tenter de sauver le roux que de rouster le valet.
Elle recouvra le corps du comte d'un drapé, sale certes il n'y avait que ça, et sortit de la tente.
Elle fit les cent pas réfléchissant à une solution.
Le temps était compté!
En se baladant quelques jours plus tôt, elle se souvint être passée devant une herboristerie.
Elle rentra dans la tente et fit atteler une charrette par le valet qui s'executa aussitôt sans broncher ayant bien compris que la vie du comte était en danger.
Il aida Klo à monter le comte dans la charrette, le déposant le plus doucement possible sur une litière de fortune, un lit de paille recouvert d'une cape appartenant au comte.
Puis, elle recouvrit le corps pour ne pas qu'on le reconnaisse au cas où ils croiseraient quelqu'un avant de tout débarrasser au camp, rangeant leurs affaires dans la charrette avec le corps inerte du comte.
Ils prirent la route et quelques heures après, arrivèrent chez l'herboriste.
Klo descendit et alla trouver la femme, lui expliquant que leur venue devait rester secrète, qu'elle serait grassement payée pour son silence.
Son travail serait de soigner l'homme important qui se trouvait dans la charrette.
Naturellement elle accepta, Klo ayant sorti une des bourses pleine du comte et lui donna quelques écus en accompte.
Elle en aurait encore d'autres , beaucoup d'autres plus tard ....
Elle les aida à descendre le comte, toujours inerte, et ils le rentrèrent dans la maison où ils purent le coucher dans une pièce propre.
De là , la femme se mit de suite à préparer onguents et baumes pour le soigner, Klo ne manquant pas d'avoir remarqué l'air sceptique de son visage en voyant les plaies sur le corps du roux.
Elle donna l'ordre au valet de cacher la charrette dans une grange sur le côté de la maison et elle griffonna un mot qu'elle fit porter par le valet ensuite, sans oublier de lui préciser qu'il ne devait absolument pas dire où ils se trouvaient.
A L'Intendance de Pezenas
Je ne vais pas faire dans les détails, il est important que vous sachiez que le comte de Lortz est gravement blessé suite à la mission prêt de Carcassonne.
Il se pourrait même qu'il ne puisse se remettre de ses blessures. Pour sa sécurité j'ai tenu l'endroit secret pour le moment. Mais dés lors que vous serez sur place, il vous sera aisé de me localiser en allant en ville et en demandant Klorysse au tavernier municipal.
Nous tentons de le soigner au mieux.
Nous avons besoin d'aide et espérons avoir rapidement de vos nouvelles
Klorysse- Soldat
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Re: brouillon
par Alandrisse Mar 27 Aoû - 11:42
Ses pas résonnaient dans la salle, elle avait du mal à rester en place. Toute cette histoire lui donnait mal au crâne, l paix c’est tout ce que sa jeune personne réclamait. Ce n’était pas beaucoup demander, d’ailleurs, c’est pour cela que les voyages étaient devenus de plus en plus réguliers. Pour fuir ce qu’elle n’osait affronter, ce n’était pas brave, mais la solution fonctionnait ou presque. Sauf que le problème avait décidé de se faire massacrer par une armée et que forcement, l’Alouette avait endossé le rôle de l’épouse pour affronter le tout. Tout en dessinant les marques de son passage à répétition sur le tapis du salon, Denise entra avec les victuailles. Ses émeraudes se posèrent sur l’intendante qui ne l’avait jamais apprécié, on se demandait pourquoi par moment. Elle n’était jamais là pour jouer la maitresse de maison. Mais ses entrailles ne mentaient pas, il y avait anguille sous roche et Denise était forcement au centre. Tout ce qui se passait dans le fief de son époux, cette femme le savait. Et le fait que son époux ne l’est pas prévenu, lui avait tout de même mis la puce à l’oreille. Il savait qu’elle était au Languedoc, il savait qu’elle était à Montpellier et que Pézénas serait forcement un point de chute. Non quelque chose clochait et tout allait s’éclaircir rapidement.
Denise, vous voulez bien vous asseoir un instant. Il est grand temps que nous parlions toutes les deux.
Sourire amical posé sur les lèvres, celui qu’elle employait à son époque de diplomate. Il y avait un principe simple lorsqu’on débutait la diplomatie, « fait croire que tout vient du camp adverse ». Il fallait donc agir ainsi avec celle qui se croyait Comtesse à la place de la Comtesse. L’Alouette prit place dans un fauteuil et observa Denise faire de même.
Ma chère, je sais que par mes absences vous devez gérer beaucoup sur le fief de mon époux. Je ne vous remercierais jamais assez pour cela. Les heures sont sombres, Bbred ayant disparu, sans fournir de nouvelles à qui ce soit.
Les mirettes de la brune ne décrochait pas de Denise, observer les réactions, il n’y avait que cela de vrai. Un léger tressaillement vers la fin, pas suffisant pour confirmer ses doutes. Il fallait poursuivre encore.
Je ne sais comment gérer tout cela, je vais demander l’aide au Comté pour le retrouver. Il se trouve peut-être encore à Montpellier.
A Carcassonne.
Ah oui Carcassonne, ce qu’il vous a certainement indiqué dans sa missive, non ? Si il a pris la peine d’écrire au Comté, vous vous doutez bien qu’une missive à mon attention a du vous arriver. Il y a deux choses que je ne supporte pas, le mensonge et la couardise. Alors si vous êtes aussi brave que vous le pensez, dites moi tout.
XXXXXXRéponse de Denisexxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Denise, vous voulez bien vous asseoir un instant. Il est grand temps que nous parlions toutes les deux.
Sourire amical posé sur les lèvres, celui qu’elle employait à son époque de diplomate. Il y avait un principe simple lorsqu’on débutait la diplomatie, « fait croire que tout vient du camp adverse ». Il fallait donc agir ainsi avec celle qui se croyait Comtesse à la place de la Comtesse. L’Alouette prit place dans un fauteuil et observa Denise faire de même.
Ma chère, je sais que par mes absences vous devez gérer beaucoup sur le fief de mon époux. Je ne vous remercierais jamais assez pour cela. Les heures sont sombres, Bbred ayant disparu, sans fournir de nouvelles à qui ce soit.
Les mirettes de la brune ne décrochait pas de Denise, observer les réactions, il n’y avait que cela de vrai. Un léger tressaillement vers la fin, pas suffisant pour confirmer ses doutes. Il fallait poursuivre encore.
Je ne sais comment gérer tout cela, je vais demander l’aide au Comté pour le retrouver. Il se trouve peut-être encore à Montpellier.
A Carcassonne.
Ah oui Carcassonne, ce qu’il vous a certainement indiqué dans sa missive, non ? Si il a pris la peine d’écrire au Comté, vous vous doutez bien qu’une missive à mon attention a du vous arriver. Il y a deux choses que je ne supporte pas, le mensonge et la couardise. Alors si vous êtes aussi brave que vous le pensez, dites moi tout.
XXXXXXRéponse de Denisexxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Alandrisse- Maïtre(sse) des lieux
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Nom: Mellissa de Montbazon Navailles de Lortz
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Re: brouillon
par BBred De Lortz Mer 28 Aoû - 14:27
elle ne peut pas dire à "Carcassonne".
Son but étant d'éloigner l'Alouette du point de chute, elle n'irait pas jusqu'a lui dire Carcassonne sous risque de l'envoyer la bas. Elle aurait plutôt tendance à annoncer Uzés par exemple.
Laissant entendre qu'elle aurait entendu un mouvement, ou une affaire qui l'aurait conduit la bas.
Au pire elle fait mine de ne pas comprendre, ou alors acquiese tout en doutant et en observant/espionnant
Mais quoiqu'il en soit, l'Alouette va devoir être trés maline et la jouant trés intélligement.
Elle à Morphée par exemple pour ça.
Son but étant d'éloigner l'Alouette du point de chute, elle n'irait pas jusqu'a lui dire Carcassonne sous risque de l'envoyer la bas. Elle aurait plutôt tendance à annoncer Uzés par exemple.
Laissant entendre qu'elle aurait entendu un mouvement, ou une affaire qui l'aurait conduit la bas.
Au pire elle fait mine de ne pas comprendre, ou alors acquiese tout en doutant et en observant/espionnant
Mais quoiqu'il en soit, l'Alouette va devoir être trés maline et la jouant trés intélligement.
Elle à Morphée par exemple pour ça.
BBred De Lortz- Maïtre(sse) des lieux
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Re: brouillon
par Alandrisse Ven 30 Aoû - 12:42
sauf que le perso morphée est plus dans le coin. Et que le rp commence à tirer en longueur. Donc la jouer malin je veux bien, mais ça devra se jouer sur du question réponse. D´ou la réponse carca qui serait plus un rectificatif non contrôlè vu que al dit Mp volontairement. Là ma Al la confronte, soit denise valide ce qui permettrait de conclure le rp. Soit ça repousse une enieme fois.
Alandrisse- Maïtre(sse) des lieux
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Re: brouillon
par BBred De Lortz Mer 13 Nov - 18:26
Ouch ...
Le pauvre bougre semblait penser ... Mais penser tellement fort que BBred pu deviner toute la rancoeur que celui-ci semblait tenir à son égard.
Un regard sombre ou une petite veine sur le front ... Ce genre de détails sur lequel on s'accroche quand le penseur en face reste de longues minutes à vous fixer sans parler.
Devant ce long moment de silence presque génant, il toussota à nouveau pour attirer son intention.
L'individu finit par tendre un document recopié.
la rapartie s'activa enfin, mais au grand désarrois du Piscenois, elle resta bien trop faible à son goût.
Il ouvrit grand les yeux pour enfin répondre.
Mais cessez donc de penser ci fort ! Vous allez finir par vous faire des noeuds au cerveau !
Laissez sortir tout ce mépris s'il à besoin de sortir.
Je ne mord pas pour si peu.
Manqueriez vous de courage pour les sortir ? Non ?! Donc ne vous faites pas autant de mal.
Je m'en voudrais d'être le responsable d'un ulcère.
Il regarda la lettre presque géné ...
Hum ...
C'est génant ...
...
J'avoue que je m'attendais pas à ça ...
Ici Publiquement ...
Vous me mettez dans l'embarras ...
...
Mais bon en même temps ...
Quel idée à eut Ingebruge de me faire une telle déclaration d'amour publiquement par annonce.
Au vue de son impopularité surtout chez nous ...
Je pourrais être accusé de récupération politique par rapport au gains de solidarité et popularité que m'abreuve cette amusante annonce.
Je vous présente mes excuses ... Je ne pensais pas que cette affaire viendrait influencer positivement ces élections.
Voilà qui est fait !
Il écouta sagement la fin ...
Pérorer ? Merci du compliment, il est vrai que je suis un peu souvent trop fier ...
Mais si mon ton et mon dialecte vous plait, vous me flattez...
Je m'excuse de ne pouvoir vous retourner le compliment ...
Vos commentaires sont tout au mieux seulement prétentieux ... Se vanter de pouvoir faire des miracles en commerce devant ce pauvre Nounours que vous accusez de ne strictement rien faire ... Le tout dans un style peu haussé ...
Je suis navré de ne pouvoir vous retourner pareil citation, mais ça manque de style.
N'ayez crainte, ça se travail.
A la dernière remarque ...
Il écarquilla les yeux ... Se scruta longuement ...
Torse nue ? En plein mois de Novembre ?
Vous avez bu cher ami ?
Je veux bien croire que nous sommes dans les chaudes terres du sud et que c'est dans cette même tenue que la rumeur chante que vous avez un soir d'été levé le poing en l'air sur la colline en applomb de Montpellier,
Les yeux rouge rivés sur le Castel comtal,
Les cheveux dans le vent
Le front humide de colère
"VENGEAAAAAAAAAANCE !"
En vous retournant vers une bande de mercenaires assoiffés d'or,
"LE POUVOIR ET lA NOBLESSE POUR RACKHAAAAAAAAAAAM !"
Mais en l'occurance ce conte, cette histoire pour effrayer les enfants se passait en été !
Le climat languedocien à ses limites ...
De plus vos yeux vous trahissent ...
Ma tenue me semble adaptée pour une exercice militaire,
A la fois simple mais distinguée ...
Toutefois je ne suis pas contre quelques bons conseils vestimentaires s'ils sont affisés de la part d'un fin connaisseur.
Mais vous semblez divaguer ...
J'espère ne pas être le coupable de ce coup de fatigue ...
Je ne voudrais en aucun cas que le ridicule voue tue.
Il y a un medecin dans l'assemblé ?
Le senher Skip a bien devellopé cette branche, nul doute que vous trouverez remède à ce petit problème de vision
On pourra ensuite converser sur des sujets qui vous interessera bien plus.
Le pauvre bougre semblait penser ... Mais penser tellement fort que BBred pu deviner toute la rancoeur que celui-ci semblait tenir à son égard.
Un regard sombre ou une petite veine sur le front ... Ce genre de détails sur lequel on s'accroche quand le penseur en face reste de longues minutes à vous fixer sans parler.
Devant ce long moment de silence presque génant, il toussota à nouveau pour attirer son intention.
L'individu finit par tendre un document recopié.
la rapartie s'activa enfin, mais au grand désarrois du Piscenois, elle resta bien trop faible à son goût.
Il ouvrit grand les yeux pour enfin répondre.
Mais cessez donc de penser ci fort ! Vous allez finir par vous faire des noeuds au cerveau !
Laissez sortir tout ce mépris s'il à besoin de sortir.
Je ne mord pas pour si peu.
Manqueriez vous de courage pour les sortir ? Non ?! Donc ne vous faites pas autant de mal.
Je m'en voudrais d'être le responsable d'un ulcère.
Il regarda la lettre presque géné ...
Hum ...
C'est génant ...
...
J'avoue que je m'attendais pas à ça ...
Ici Publiquement ...
Vous me mettez dans l'embarras ...
...
Mais bon en même temps ...
Quel idée à eut Ingebruge de me faire une telle déclaration d'amour publiquement par annonce.
Au vue de son impopularité surtout chez nous ...
Je pourrais être accusé de récupération politique par rapport au gains de solidarité et popularité que m'abreuve cette amusante annonce.
Je vous présente mes excuses ... Je ne pensais pas que cette affaire viendrait influencer positivement ces élections.
Voilà qui est fait !
Il écouta sagement la fin ...
Pérorer ? Merci du compliment, il est vrai que je suis un peu souvent trop fier ...
Mais si mon ton et mon dialecte vous plait, vous me flattez...
Je m'excuse de ne pouvoir vous retourner le compliment ...
Vos commentaires sont tout au mieux seulement prétentieux ... Se vanter de pouvoir faire des miracles en commerce devant ce pauvre Nounours que vous accusez de ne strictement rien faire ... Le tout dans un style peu haussé ...
Je suis navré de ne pouvoir vous retourner pareil citation, mais ça manque de style.
N'ayez crainte, ça se travail.
A la dernière remarque ...
Il écarquilla les yeux ... Se scruta longuement ...
Torse nue ? En plein mois de Novembre ?
Vous avez bu cher ami ?
Je veux bien croire que nous sommes dans les chaudes terres du sud et que c'est dans cette même tenue que la rumeur chante que vous avez un soir d'été levé le poing en l'air sur la colline en applomb de Montpellier,
Les yeux rouge rivés sur le Castel comtal,
Les cheveux dans le vent
Le front humide de colère
"VENGEAAAAAAAAAANCE !"
En vous retournant vers une bande de mercenaires assoiffés d'or,
"LE POUVOIR ET lA NOBLESSE POUR RACKHAAAAAAAAAAAM !"
Mais en l'occurance ce conte, cette histoire pour effrayer les enfants se passait en été !
Le climat languedocien à ses limites ...
De plus vos yeux vous trahissent ...
Ma tenue me semble adaptée pour une exercice militaire,
A la fois simple mais distinguée ...
Toutefois je ne suis pas contre quelques bons conseils vestimentaires s'ils sont affisés de la part d'un fin connaisseur.
Mais vous semblez divaguer ...
J'espère ne pas être le coupable de ce coup de fatigue ...
Je ne voudrais en aucun cas que le ridicule voue tue.
Il y a un medecin dans l'assemblé ?
Le senher Skip a bien devellopé cette branche, nul doute que vous trouverez remède à ce petit problème de vision
On pourra ensuite converser sur des sujets qui vous interessera bien plus.
- Spoiler:
HRP : Désolé mais ce petit eccart d'interprétation sur les avatars qui sont tous sauf RP etait bien trop tentant.
BBred De Lortz- Maïtre(sse) des lieux
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Re: brouillon
par BBred De Lortz Ven 15 Nov - 13:04
Bbred écouta à nouveau les interventions qui s'enuivèrent.
Il soupira longuement.
Le temps passait vite.
Le debat allait bientôt devoir se cloturer.
Il prit donc une longue respiration.
Puis quand son tour de parole revint.
Il put enfin répondre.
Mais vous avez vraiment un soucis de franchise !
Ou de courage je n'en sais rien.
regardez Christina !
Elle chuchotte ... Elle doit m'en foutre plein la trogne à n'en pas douter ! Mais au final, ça me parle de tranche de saucisson.
Le Rackam, il pense, il pense tellement fort depuis plus d'un an à me dénigrer et bien d'autre que c'est incroyable que ça n'explose pas.
Mais à part de tenter d'influencer les âmes et les esprits à quoi ça sert ?
Elle est ou votre transparence si vous n'arrivez même pas à me sortir que je suis un sale con prétentieux !
Oui, je le suis, et ?
C'est si difficile que ça de remonter ses braies et d'arrêter d'être lâche au point de refuser à l'autre la possibilitée de réagir ou de répondre?
Je m'en cogne sévrement d'être le sujet de mépris de Rackam sans que je le sache depuis des années.
Mais les pensées accerbes n'ont jamais rien fait avancer !
J'ai eut de nombreux griefs envers Méval, et la je peux même remercier Arthur de m'avoir fait une belle crace. Ca m'a permis de m'ouvrir plus facilement sur le sujet.
Au final, on a eut une discussion très dure et ?
Aujourd'hui on travail ensemble, j'ai changé d'avis sur notre relation et je peux même dire aujourdh'ui que je l'apprécie.
Je ne suis pas d'accord avec tout ce qu'elle peut faire, ou à fait.
Je n'ai pas changé ma nature ou ma conception des choses ... C'est juste de la franchise à la base.
Je ne suis pas là à penser tellement fort "Sa Glandeur Menturocanos" ou "Rackam la Rage" à m'en faire péter le ciboulos comme vous avez l'habitude de faire.
C'est donc là tout votre courage ?
Et oser me dire ensuite que je répend de la bille ?
Je bave là ? non !
Je ne suis justement pas là à faire mon grand hypocrite pour estorquer des voies.
A jouer le gentil copain pour endormir les électeurs.
Pas besoin d'attirer la sympathie.
Il n'y a pas tromperie sur la marchandise.
On aime, on aime pas, mais au moins c'est clair.
C'est d'une faiblesse toute ces pensées malsaines ! Vous rester fixé sur l'individu, sans rien dire tout en pensant un tas de truc diffamant.
Assumez !
Soyez digne !
Je viens ici dans la cage au lion, il y a qui ? Nounours ? 2 personnes face à 12 !
Vous risquez quoi ? Rien. Et moi je sais ce que je risque en ne venant pas lécher les pieds de Rackam que vous voyez tous comme le futur comte du Languedoc.
Je n'ai pas peur de me faire dégommer.
Osez dire ce que vous avez à dire.
Je suis sur une liste et vous savez trés bien pourquoi.
Ca taille le précédent conseil, mais sans rien pointer.
On ne dénigre pas untel ou untel pour ne pas se facher pour ne pas perdre de voie ou froisser son image.
Sauf qu'à ce petit jeu là, à moyen terme, vous allez tous perdre le jour ou on se rend compte qu'il y a tromperie.
Apres rester jovial et sincère comme Kelak c'est rare et ce n'est pas donné à tout le monde.
Moi je suis rancunier mais je l'assume trés bien.
Rackam veut devenir comte à tout prix, il en rêve la nuit, il a faim.
Mais ça moi je m'en fiche, ne venez pas me traiter de jaloux ou ce genre d'excuse toute trouvée et facile.
Je n'arrive pas à passer outre le fait qu'il ait comploté avec les hydres pour la prise du Languedoc.
Il voulait se venger, il a explosé.
Mais faire porter le chapeau à un frère sortie de nul part.
Sans excuses,
Sans repentis,
Pour un type qui de toute façon continue à dénigrer les autres comme Enduril sans jamais l'expliquer ou le dire publiquement,
c'est beaucoup trop simple.
Je n'arrive pas à faire confiance et je trouve que c'est légitime de ma part.
Le pire dans tout ça c'est que je ne suis pas le seul à penser ça.
Ceux qui ne dise rien, ont au moins la franchise de ne pas penser fort à tout va.
On va arrêter là sur le sujet.
L'individu pour lequel on vote est important. Chacun son opinion, mais si vous vous plaisez à penser fort cette opinion, assumez là et dite le à haute voie.
Pour la suite,
Vu qu'un sujet a été ouvert
Et je vais me faire un plaisir d'y répondre.
La ou vous voyez un "texte", moi j'y ait vu seulement un document de travail.
Le principe fondamentale était une réunification des institutions militaires.
ce principe là a été approuvé par Malkav et bien d'autre.
Le conseil s'est déroulé comme il s'est déroulé. Je ne vais pas vous repprochez la carrence de Prévoté qui nous a fait grandement souffrir.
On prend des risques, on mise sur des personnes. Ca marche ou ça ne marche pas.
Mais mon principal repproche c'est que ce document devait être affuté.
Simplifié, adapté ...
Malheureusement ça ne se fait pas comme ça.
Et 2 mois n'ont pas été suffisant.
Debba n'a pas reussit non plus les 3 mois suivant.
Copier et coller des articles, n'était pas la solution vu que structurellement il est trés mal fait.
Dire que ce texte est bien et exploitable est un mensonge.
Du moins, moi si j'osais le dire en tant que sachant, je serais un menteur.
J'ignore encore pourquoi vous l'avez sortie dans cet état.
Le travail a été reprit et a évolué depuis.
Meval ne va pourtant pas le sortir tel quel à la dernière minute.
Je serais ravis de vous montrer les modification et adaptation vu qu'il va falloir terminer le travail. Etant tout seul sur le sujet depuis un bout de temps, un avis complémentaire ne sera pas une mauvaise chose.
Certain comme Larsen trouve que c'est trop long à sortir. J'accepte la critique et j'assume si on me repproche de ne pas être assez efficace.
Mais je ne pourrais sortir de moi même quelque chose dont je ne suis pas certain.
Maintenant si je lit votre programme,
Vous revenez complétement sur le fondamental en proposant une re-séparation.
C'est contradictoire avec ce que vous avez fait en Mars.
Pour le reste, vu le temps qui nous reste.
Je ne vais pas m'éttendre sur les griefs qui nous oppose.
On aura largement le temps de s'expliquer.
Je vous apprendrais à executer une vengeance sans casser les oeufs de votre pannier.
Sur ceux, il se tue ... Se demandant alors si ça allait encore penser et chuchoter à outrance.
Il soupira longuement.
Le temps passait vite.
Le debat allait bientôt devoir se cloturer.
Il prit donc une longue respiration.
Puis quand son tour de parole revint.
Il put enfin répondre.
Mais vous avez vraiment un soucis de franchise !
Ou de courage je n'en sais rien.
regardez Christina !
Elle chuchotte ... Elle doit m'en foutre plein la trogne à n'en pas douter ! Mais au final, ça me parle de tranche de saucisson.
Le Rackam, il pense, il pense tellement fort depuis plus d'un an à me dénigrer et bien d'autre que c'est incroyable que ça n'explose pas.
Mais à part de tenter d'influencer les âmes et les esprits à quoi ça sert ?
Elle est ou votre transparence si vous n'arrivez même pas à me sortir que je suis un sale con prétentieux !
Oui, je le suis, et ?
C'est si difficile que ça de remonter ses braies et d'arrêter d'être lâche au point de refuser à l'autre la possibilitée de réagir ou de répondre?
Je m'en cogne sévrement d'être le sujet de mépris de Rackam sans que je le sache depuis des années.
Mais les pensées accerbes n'ont jamais rien fait avancer !
J'ai eut de nombreux griefs envers Méval, et la je peux même remercier Arthur de m'avoir fait une belle crace. Ca m'a permis de m'ouvrir plus facilement sur le sujet.
Au final, on a eut une discussion très dure et ?
Aujourd'hui on travail ensemble, j'ai changé d'avis sur notre relation et je peux même dire aujourdh'ui que je l'apprécie.
Je ne suis pas d'accord avec tout ce qu'elle peut faire, ou à fait.
Je n'ai pas changé ma nature ou ma conception des choses ... C'est juste de la franchise à la base.
Je ne suis pas là à penser tellement fort "Sa Glandeur Menturocanos" ou "Rackam la Rage" à m'en faire péter le ciboulos comme vous avez l'habitude de faire.
C'est donc là tout votre courage ?
Et oser me dire ensuite que je répend de la bille ?
Je bave là ? non !
Je ne suis justement pas là à faire mon grand hypocrite pour estorquer des voies.
A jouer le gentil copain pour endormir les électeurs.
Pas besoin d'attirer la sympathie.
Il n'y a pas tromperie sur la marchandise.
On aime, on aime pas, mais au moins c'est clair.
C'est d'une faiblesse toute ces pensées malsaines ! Vous rester fixé sur l'individu, sans rien dire tout en pensant un tas de truc diffamant.
Assumez !
Soyez digne !
Je viens ici dans la cage au lion, il y a qui ? Nounours ? 2 personnes face à 12 !
Vous risquez quoi ? Rien. Et moi je sais ce que je risque en ne venant pas lécher les pieds de Rackam que vous voyez tous comme le futur comte du Languedoc.
Je n'ai pas peur de me faire dégommer.
Osez dire ce que vous avez à dire.
Je suis sur une liste et vous savez trés bien pourquoi.
Ca taille le précédent conseil, mais sans rien pointer.
On ne dénigre pas untel ou untel pour ne pas se facher pour ne pas perdre de voie ou froisser son image.
Sauf qu'à ce petit jeu là, à moyen terme, vous allez tous perdre le jour ou on se rend compte qu'il y a tromperie.
Apres rester jovial et sincère comme Kelak c'est rare et ce n'est pas donné à tout le monde.
Moi je suis rancunier mais je l'assume trés bien.
Rackam veut devenir comte à tout prix, il en rêve la nuit, il a faim.
Mais ça moi je m'en fiche, ne venez pas me traiter de jaloux ou ce genre d'excuse toute trouvée et facile.
Je n'arrive pas à passer outre le fait qu'il ait comploté avec les hydres pour la prise du Languedoc.
Il voulait se venger, il a explosé.
Mais faire porter le chapeau à un frère sortie de nul part.
Sans excuses,
Sans repentis,
Pour un type qui de toute façon continue à dénigrer les autres comme Enduril sans jamais l'expliquer ou le dire publiquement,
c'est beaucoup trop simple.
Je n'arrive pas à faire confiance et je trouve que c'est légitime de ma part.
Le pire dans tout ça c'est que je ne suis pas le seul à penser ça.
Ceux qui ne dise rien, ont au moins la franchise de ne pas penser fort à tout va.
On va arrêter là sur le sujet.
L'individu pour lequel on vote est important. Chacun son opinion, mais si vous vous plaisez à penser fort cette opinion, assumez là et dite le à haute voie.
Pour la suite,
Vu qu'un sujet a été ouvert
Et je vais me faire un plaisir d'y répondre.
La ou vous voyez un "texte", moi j'y ait vu seulement un document de travail.
Le principe fondamentale était une réunification des institutions militaires.
ce principe là a été approuvé par Malkav et bien d'autre.
Le conseil s'est déroulé comme il s'est déroulé. Je ne vais pas vous repprochez la carrence de Prévoté qui nous a fait grandement souffrir.
On prend des risques, on mise sur des personnes. Ca marche ou ça ne marche pas.
Mais mon principal repproche c'est que ce document devait être affuté.
Simplifié, adapté ...
Malheureusement ça ne se fait pas comme ça.
Et 2 mois n'ont pas été suffisant.
Debba n'a pas reussit non plus les 3 mois suivant.
Copier et coller des articles, n'était pas la solution vu que structurellement il est trés mal fait.
Dire que ce texte est bien et exploitable est un mensonge.
Du moins, moi si j'osais le dire en tant que sachant, je serais un menteur.
J'ignore encore pourquoi vous l'avez sortie dans cet état.
Le travail a été reprit et a évolué depuis.
Meval ne va pourtant pas le sortir tel quel à la dernière minute.
Je serais ravis de vous montrer les modification et adaptation vu qu'il va falloir terminer le travail. Etant tout seul sur le sujet depuis un bout de temps, un avis complémentaire ne sera pas une mauvaise chose.
Certain comme Larsen trouve que c'est trop long à sortir. J'accepte la critique et j'assume si on me repproche de ne pas être assez efficace.
Mais je ne pourrais sortir de moi même quelque chose dont je ne suis pas certain.
Maintenant si je lit votre programme,
Vous revenez complétement sur le fondamental en proposant une re-séparation.
C'est contradictoire avec ce que vous avez fait en Mars.
Pour le reste, vu le temps qui nous reste.
Je ne vais pas m'éttendre sur les griefs qui nous oppose.
On aura largement le temps de s'expliquer.
Je vous apprendrais à executer une vengeance sans casser les oeufs de votre pannier.
Sur ceux, il se tue ... Se demandant alors si ça allait encore penser et chuchoter à outrance.
BBred De Lortz- Maïtre(sse) des lieux
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Date d'inscription : 06/05/2009
Fiche du personnage
Nom: Bbred de Lortz
Ville/Comté: Pézenas - Béziers / Languedoc
Titre: Comte(sse)
Re: brouillon
par BBred De Lortz Ven 22 Nov - 12:24
Un matin,
Comme d'habitude, le soleil s'était levée. Bien timidement devant la rudesse du climat ...
Comme d'habtude le comte se leva aprés une bien trop courte nuit solitaire,
Comme d'habitude il s'était rendu dans une petite salle discrète derrière les cuisines. Une salle quelconque, que personne n'aurait remarqué en temps normal. Là ou on entreprosait le plus souvent, le fumet de la veille. Cette petite piéces ou le matin il pouvait rester au calme.
Comme d'habitude, Denise lui avait fait déposer les quelques nouvelles reçu au Castel.
Comme d'habitude elle avait essayé d'en lire le contenu en masquant celà pour que ça ne se remarque pas.
Comme d'habitude le comte avait laisser couler, faisant face à une lassitude pesante plutôt qu'a une vive colère.
Comme d'habtude il lut ... tout en grignotant les quelques pains chauds sortie du four ce matin ...
...
Mais inhabituellement, l'un des courriers retint son attention.
Il le lisa. Visage calme et fermé.
Les dernières lignes glissèrent sur ses yeux ... Puis il replia sans laisser paraître le moindre sentiment.
Il se leva et partie par le petit couloir fuyant vers le coeur du château.
On ne pu entendre qu'un furtif grognement, temoignage d'une rapide regurgitation.
Et c'est ainsi, qu'il partit affronter tout ce petit monde politique, sans laisser paraître la moindre blessure.
Ce n'est que plus tard, dans la nuit ... L'esprit claire mais légèrement alcoolisé ... Que sa main prit la liberté de coucher sur le parchemin, tout ce qu'il avait sur le coeur. La prose fut plus poussée qu'a l'acoutumée.
Moins "poéte" qu'un Bentich,
Moins formelle qu'une Enduril,
Juste la libre expression de la mélancolie relative à un manque. Un manque profondément encré, comparable à une dépendance non assouvie.
Comme d'habitude, le soleil s'était levée. Bien timidement devant la rudesse du climat ...
Comme d'habtude le comte se leva aprés une bien trop courte nuit solitaire,
Comme d'habitude il s'était rendu dans une petite salle discrète derrière les cuisines. Une salle quelconque, que personne n'aurait remarqué en temps normal. Là ou on entreprosait le plus souvent, le fumet de la veille. Cette petite piéces ou le matin il pouvait rester au calme.
Comme d'habitude, Denise lui avait fait déposer les quelques nouvelles reçu au Castel.
Comme d'habitude elle avait essayé d'en lire le contenu en masquant celà pour que ça ne se remarque pas.
Comme d'habitude le comte avait laisser couler, faisant face à une lassitude pesante plutôt qu'a une vive colère.
Comme d'habtude il lut ... tout en grignotant les quelques pains chauds sortie du four ce matin ...
...
Mais inhabituellement, l'un des courriers retint son attention.
Il le lisa. Visage calme et fermé.
Les dernières lignes glissèrent sur ses yeux ... Puis il replia sans laisser paraître le moindre sentiment.
Il se leva et partie par le petit couloir fuyant vers le coeur du château.
On ne pu entendre qu'un furtif grognement, temoignage d'une rapide regurgitation.
Et c'est ainsi, qu'il partit affronter tout ce petit monde politique, sans laisser paraître la moindre blessure.
Ce n'est que plus tard, dans la nuit ... L'esprit claire mais légèrement alcoolisé ... Que sa main prit la liberté de coucher sur le parchemin, tout ce qu'il avait sur le coeur. La prose fut plus poussée qu'a l'acoutumée.
Moins "poéte" qu'un Bentich,
Moins formelle qu'une Enduril,
Juste la libre expression de la mélancolie relative à un manque. Un manque profondément encré, comparable à une dépendance non assouvie.
De nous BBred,
A vous Melissa
C'est de si loin que je reçois votre missive, et encore plus éloigné par la dureté de vos mots couchés dessus.
Habituellement, votre verbe, n'est pas caractérisé par de longue tirade enflammé. Du moins ce n'est pas comme cela que j'ai coutume de le connaître.
Toutefois bien que sophistiquée, votre expression laisse apparaitre une froideur bien plus expressive qu'un dur givre d'hiver.
Aussi loin dans ma mémoire, je n'ai connu tel froideur qu'à travers les mots d'Ingebruge.
Elle qui à la manière de rester tout aussi froide qu'une montagne de glace, selon la légende.
Il m'est donc particulièrement pénible et douleureux de voir votre coeur languedocien, issue des terres chaudes du sud si gravement atteint.
La distance ne guérit pas de tous les maux. Elle ne fait que souligner l'essentiel.
Espérer ou craindre ? Placé entre l'excès du bonheur et celui de l'infortune, l'incertitude est un tourment cruel.
Pourquoi vous ai-je épousé ?
N'ai-je pu résister à votre charme divin qui vous livrait à mes pensées ?
Ou à votre caractère si impétueux qui fait de vous une femme si forte, exceptionnelle mais pourtant si fragile à l'intérieur ?
Content de vous adorer en silence lorsque le conflit venait ternir ce si beau tableau, je jouissais au moins de mon amour que je vous portais si égoïstement.
Et ce doux sentiment, qui m'obstruait alors l'image de votre douleur, suffisait à ma félicité.
Mais cette source de bonheur en est devenue une de désespoir, depuis que j'ai vu couler vos larmes et que j'ai compris que votre coeur saignait depuis que j’ai lu ces mots cruels ... Evoquant un avenir bien moins radieux...
Ces mots retentiront longtemps dans mon coeur.
Par quelle fatalité, le plus doux des sentiments peut-il vous inspirer si terrible avenir ?
Quelle est donc cette crainte ?
Quelle est donc ce pessimiste permanent qui vous fait si durement douter de nous ?
Par où, dites-moi, ai-je mérité cette rigueur désolante ?
Je ne crains pas de vous prendre pour juge.
Qu'ai-je donc fait ?
Je n'ai que continuellement cédé à un sentiment involontaire, inspiré par votre beauté et justifié par votre vertu et qui donna naissance à de la confiance et de l'espoir.
Trahirez-vous cette confiance que vous-même avez semblé me permettre ?
A laquelle je me suis livré sans réserve ? Non, je ne puis le croire.
Ce serait vous supposer un tort, et mon coeur se révolte à la seule idée de vous en trouver.
Je ne puis déplorer que les circonstances ...
Cet infecte poison nourrit par les divergences politiques.
L'ambition, les idéaux ... Les alliances, les trahisons ... Toute cette infamie qui s'est servi de vous comme de moi, et qui est venue si souvent semer les graines de la discorde.
Laissez-moi vous croire parfaite, c'est le seul plaisir qui me reste.
Prouvez-moi que vous l'êtes en m'accordant à nouveau votre avenir et votre confiance.
Ne m'abandonnez pas dans le délire où vous m'avez plongé et prêtez-moi votre raison, puisque vous avez ravi la mienne.
Vous ne parviendrez point à vaincre mon amour.
Je vous en conjure, sauvez-moi du malheur affreux de vous déplaire.
Dissipez surtout cette crainte désespérante, dites-moi que vous me pardonnez, assurez-moi de votre indulgence.
L'Automne laisse place peu à peu à l'hiver,
C'est bientôt la date de votre anniversaire, puis-je espérer de le passer à vos côtés ?
Je me rêvais votre maître, je serai votre serviteur. A vos pieds délicats je déposerai mon cœur. Et je vous le laisserai comme gage de mon ardeur.
Jouez de moi, cruelle. Plantez vos griffes acérées dans mon amour palpitant. Faites-moi souffrir ce que vous souffrez.
Vengez-vous ! Mettez-le en pièces !
Ou mieux encore. Gardez-le précieusement. Faites de moi l’esclave de vos doux sentiments.
Revenez-moi, ma mie, redevenez ma vie.
Laissez donc mon ardeur, tendrement vous réchauffer. Laissez donc mon amour en vous pénétrer.
Laissez-moi redevenir celui qui vous a séduit, qui vous a conquis et qui aujourd’hui vous rend les armes.
Revenez, mon amour. Revenez, ma femme…
Que le trés haut vous garde en son estime,
BBred De Lortz- Maïtre(sse) des lieux
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Fiche du personnage
Nom: Bbred de Lortz
Ville/Comté: Pézenas - Béziers / Languedoc
Titre: Comte(sse)
Re: brouillon
par BBred De Lortz Lun 25 Nov - 10:59
[rp]De nous Bbred de Lortz, Capitaine du Languedoc
A vous Bentich de Gainsborough, Lieutenant de Mende,
Par la présente, nous souhaitons connaître les avancements de votre enquête concernant les coffres vides de la mairie de Mendes.
Le Lieutenant second Jefflebarde est il lié de prés ou de loin à cette affaire ?
Si aucun lien n'est fait, peut on sans crainte le laissez reprendre son service malgré l'implication de l'une de ses filles sur le sujet ?
Avez vous pu étanlir un lien avec d'autre personnes dans cette affaire ? Nous pensons à Minette, Antoine.. et Isarol.
La prévenue Bellabrina a été apperçut en Limousin. Elle ne semble pas vouloir revenir.
Avez vous pu échanger avec elle sur le sujet à travers plusieurs missive ?
Vos agents ont ils pu retrouver des traces et indices d'un éventuel pillage, autres que celles mise en avant par la nouvelle maire de Mende ?
Dans l'attente de vos nouvelles,
Cordialement,
BBDL le 25eme jour du mois de Novembre de l'an 1461
[/rp]
A vous Bentich de Gainsborough, Lieutenant de Mende,
Par la présente, nous souhaitons connaître les avancements de votre enquête concernant les coffres vides de la mairie de Mendes.
Le Lieutenant second Jefflebarde est il lié de prés ou de loin à cette affaire ?
Si aucun lien n'est fait, peut on sans crainte le laissez reprendre son service malgré l'implication de l'une de ses filles sur le sujet ?
Avez vous pu étanlir un lien avec d'autre personnes dans cette affaire ? Nous pensons à Minette, Antoine.. et Isarol.
La prévenue Bellabrina a été apperçut en Limousin. Elle ne semble pas vouloir revenir.
Avez vous pu échanger avec elle sur le sujet à travers plusieurs missive ?
Vos agents ont ils pu retrouver des traces et indices d'un éventuel pillage, autres que celles mise en avant par la nouvelle maire de Mende ?
Dans l'attente de vos nouvelles,
Cordialement,
BBDL le 25eme jour du mois de Novembre de l'an 1461
[/rp]
BBred De Lortz- Maïtre(sse) des lieux
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Titre: Comte(sse)
Re: brouillon
par BBred De Lortz Mar 3 Déc - 10:18
[rp]De nous Bbred de Lortz, Humble Comte de Pézénas
A Sa Magnificence Actarius d'Euphor, Pair et Grand Prévôt de France, Duc impérial de Namur, Marquis de Dourdan & de La Roche, Duc d'Auxerre, Comte du Tournel, Vicomte de Durbuy, Baron de Donzy & de Florac,
Là-haut, là-haut
Très loin dans l'espace
Entre l'OC et Vénus
Le Languedoc garde encore la trace
Du Pair Actarius
Toutefois ce n'est pas votre légende que nous allons vous raconter.
Mais nous prenons la plume avec l'audace de vous écrire sur la personne que vous avez laissé en Oc pour gérer vos affaires du Tournel.
Nous vous prions de bien vouloir ne pas nous en tenir rigueur depuis les étoiles, tout là-haut où vous perchez.
Le sujet de notre Lettre concerne donc votre protégé Arcadhias de Vaudalm
Vous n'êtes sans doute pas sans ignorer le houleux dénouement des élections comtales. Un regrettable épisode.
Malgré tout le conseil a débuté.
Le travail sur la partie militaire s'avère difficile.
Le débat sur les élections maintenant terminés, il nous est pourtant impossible de travailler avec le Connétable Arcadhias.
La situation reste bloqué face à ses certitudes et à un certain autisme.
Nos idées sont diamétralement opposées, mais nous avons tenté d'être le plus compréhensif et demander à trouver un terrain d'entente.
Le modèle qu'il souhaite mettre en place est proche de celui du Domaine Royal, et la situation du Languedoc ne nous semble pas propice à celà.
Quoiqu'il en soit, nous vous avons toujours connu assez professionnel lors d'un exercice comtal.
Sans vous tirer plus de louanges sous risque de paraitre hypocrites, le travail en communauté était possible.
Il semblerait que vous ayez omis de transmettre cette valeur à qui vous est proche.
Nous vous demandons dans votre immense quiétude, de bien vouloir en toucher deux mots à votre élève.
Nous pensons qu'il faut dépasser certaines différences, si beaucoup ne le pensent pas constructif, n'ayant aucun respect pour les autres, et puant de suffisance, (propos en version originale recueillit auprès de quelques personnes dont vous avez estimes), il n'en demeure pas moins pour nous Le connétable du Languedoc et donc une personne sur laquelle nous devons pouvoir faire confiance.
Nous vous remercions d'avoir pris le temps de lire ces quelques lignes et serions heureux de pouvoir compter sur votre aide.
BBDL le 25eme jour du mois de Novembre de l'an 1461
[/rp]
A Sa Magnificence Actarius d'Euphor, Pair et Grand Prévôt de France, Duc impérial de Namur, Marquis de Dourdan & de La Roche, Duc d'Auxerre, Comte du Tournel, Vicomte de Durbuy, Baron de Donzy & de Florac,
Là-haut, là-haut
Très loin dans l'espace
Entre l'OC et Vénus
Le Languedoc garde encore la trace
Du Pair Actarius
Toutefois ce n'est pas votre légende que nous allons vous raconter.
Mais nous prenons la plume avec l'audace de vous écrire sur la personne que vous avez laissé en Oc pour gérer vos affaires du Tournel.
Nous vous prions de bien vouloir ne pas nous en tenir rigueur depuis les étoiles, tout là-haut où vous perchez.
Le sujet de notre Lettre concerne donc votre protégé Arcadhias de Vaudalm
Vous n'êtes sans doute pas sans ignorer le houleux dénouement des élections comtales. Un regrettable épisode.
Malgré tout le conseil a débuté.
Le travail sur la partie militaire s'avère difficile.
Le débat sur les élections maintenant terminés, il nous est pourtant impossible de travailler avec le Connétable Arcadhias.
La situation reste bloqué face à ses certitudes et à un certain autisme.
Nos idées sont diamétralement opposées, mais nous avons tenté d'être le plus compréhensif et demander à trouver un terrain d'entente.
Le modèle qu'il souhaite mettre en place est proche de celui du Domaine Royal, et la situation du Languedoc ne nous semble pas propice à celà.
Quoiqu'il en soit, nous vous avons toujours connu assez professionnel lors d'un exercice comtal.
Sans vous tirer plus de louanges sous risque de paraitre hypocrites, le travail en communauté était possible.
Il semblerait que vous ayez omis de transmettre cette valeur à qui vous est proche.
Nous vous demandons dans votre immense quiétude, de bien vouloir en toucher deux mots à votre élève.
Nous pensons qu'il faut dépasser certaines différences, si beaucoup ne le pensent pas constructif, n'ayant aucun respect pour les autres, et puant de suffisance, (propos en version originale recueillit auprès de quelques personnes dont vous avez estimes), il n'en demeure pas moins pour nous Le connétable du Languedoc et donc une personne sur laquelle nous devons pouvoir faire confiance.
Nous vous remercions d'avoir pris le temps de lire ces quelques lignes et serions heureux de pouvoir compter sur votre aide.
BBDL le 25eme jour du mois de Novembre de l'an 1461
[/rp]
BBred De Lortz- Maïtre(sse) des lieux
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Titre: Comte(sse)
Re: brouillon
par Klorysse Ven 24 Avr - 16:39
Voyage Voyage...
Il était temps de prendre un peu de bon temps après des mois passés à " nettoyer " les routes du Languedoc, défendre la capitale aux côtés de son amie qu'elle appelle Sali. Sa compagne d'armes ...
Fidèle au comte de Lortz la rousse n'aime pas qu'il parte sans elle. Non pas fidèle d'amour, Klo avait fermé son cœur pour ne plus avoir à souffrir, mais cela fait des années qu'elle suit ce roux et une amitié sincère était née entre eux à force du temps , une amitié à laquelle elle tient particulièrement.
Accompagnée de son amie, Alizée, la Marciac, elles prennent la direction d'Uzés rejoindre rouquin comme elle aime à appeler ainsi Bébé Raide !
Marciac est ravie et ne se fait pas prier pour rassembler ses petites affaires et prendre la route. Elles débarquent donc à Uzés et cherchent Bb. Elles ne mettent pas longtemps à débusquer le bonhomme. Klo lui trouve une mine fatiguée mais elle ne dit rien pour pas se faire envoyer sur les roses. Il a son caractère, elle a le sien et pas des moindres. Quoique souvent, quand elle lui dit des choses elle n'est plus étonnée de le voir filé la plantant sans rétorquer. Il donne ses directives et le petit groupe prend la route à nouveau .... changement de dernière minute.... Klo déteste les changements de dernière minute surtout s'ils sont annoncés dans la soirée alors qu'elle s’apprête à prendre la route, à croire qu'il a besoin de sa dose de râles façon Klo quotidienne parce que oui la rousse râle, non pas pour le changement mais pour l'heure tardive à laquelle elle est avertie de ce changement.
Donc changement de dernière minute, ils vont partir en bateau.
Direction Lyon avec une Alizée plus que ravie, elle adore l'eau et rêve d'avoir son propre bateau. Klo est de son côté ravie de la voir toute souriante. Elles en profitent toutes deux pour pêcher. Klo taquine son amie, lui dit qu'elle ne remontera qu' une botte toute usée de la flotte. Mais le lendemain Alizée toute fière pointe son poisson la bouche presqu'en cœur, et Klo elle remonte que dalle. On peut pas être douée en tout non plus, de plus elle ne sait pas cuisiner et l'aurait rejeté à la flotte ce pauvre poisson.
Lyon.... rien à manger , des histoires de guerre. Ils en sortent et ça parle de remettre ça , rejoindre Sali pour prêter main forte ... pourquoi pas... la rousse n'est pas à une bataille prés après tout et son amie semble vouloir suivre aussi.
Bien non, il est prévu de partir en Berry pour elle ne sait quoi. Récupérer quelqu'un. L'ours roux n'est jamais très explicite.
Le Berry .. " T'aimes pas le Berry? " Bizarre la question du Lortz. Vous arrivez en Berry, on vous envoie un courrier avec un tas de questions du douanier :
" J'ai le plaisir de vous informer que le voyage en Berry est libre." Non sans blagues !!!
"Cependant, suite aux prises de Saint-Aignan et de Châteauroux par des brigands angevins organisés en lances et corps d'armes, notre duché n'accepte les lances et corps d'armes qu'avec un Laisser-Passer délivré soit par notre Capitaine messire Alekine, soit par notre duchesse Asterie, soit par notre Prévost dame Nevada_. " Mince c'est pas de bol ça !
"J'espère que votre séjour se passera au mieux. D'ailleurs pourquoi ne pas faire une halte de quelques jours à Bourges, voire même vous y installer ? Notre Berry, c'est le Paradis ! " Non mais il est sérieux lui?
Bla bla bla blaaaaa ..... et blabla bla bla...et bla bla bla bla bla ... Un bon garçon ce douanier
Chiffonnement du courrier , la rousse le jette par dessus son épaule. Bb aura certainement répondu pour le groupe. Si elle devait un jour quitter son Languedoc elle ne choisira surement pas ce duché au vu de ce qui s'y trouve...
Après le Berry ... Blois ... pétage de plomb, mauvaise communication. On part quand?
Ce qui devait arriver arriva... elles suivent pas ! Non pas pour leur plaisir mais parce qu'elles ne savaient pas qu'il fallait suivre. La plume court sur les parchemins , les pigeons vont et viennent ...
Pigeon de Bb " Tête de pioche !! T'as pas suivit !!!"
Pigeon de Klo " T'as qu'à écrire !! Merde hein !! on sait jamais ce qu'on fait à l'avance "
Pigeon de Bb " Je t'ai dit repos et on bouge. Tu m'as répondu ok donc demain on bouge; c'est que tu avais compris!"
Bla bla bla !!
Pigeon de Klo " Sauf que je trouve normal qu'on ait un rappel. Là rien pour confirmer du coup moi et Ali on a pas suivi "
Pauvres pigeons .... Tours-Blois... Blois - Tours...
Pigeon de Bb " T'es plus blonde ! Normalement t'es censée avoir gagner en mémoire et intelligence."
Tssssss pour la peine la rousse reprend sa couleur naturelle.... divine blondeur !
La rousse grogne, l'autre blonde râle. Blondes power !! Rouquin en minorité contre les blondissimes rageuses. C'est quand que tu fais les choses bien Bb bordel ?????
Tours nous voici nous voilà. Réintégration du groupe. Tiens Led n'est plus là. Petit parchemin d'accueil de l'ours roux :
" demande l'adhesion a mon groupe et suit ce soir.
on va à Chinon, puis Saumur.
Saumur une pose d'une journée et ensuite faudra suivre pendant une semaine.
Je ferais des rappels "
Comme quoi râler porte ses fruits.
Saumur, l'Anjou ... la blonde grimace, quelques souvenirs dont un plus paticulièrement désagréable. Quelques personnes sympathiques, d'autres plus désagréables. Saumur n'est plus ce qu'elle avait connu lors de son passage il y a longtemps, c'est une ville aussi vide que bien d'autres qu'elle retrouve. Mais elle s'en moque , ils reprennent la route le soir même pour .... se retrouver à nouveau en Touraine.
C'est quoi déjà le but du voyage???
Sali tu me manques !!
La mer.... le soleil... les odeurs de thym, de lauriers, de poissons , la blonde étendue sur sa couche enroulée dans une couverture dort d'un sommeil paisible. Respiration régulière elle est entrain de rêver à son Languedoc ... Son épée à portée de main, sa dague sous l'oreiller, elle a toujours ses armes avec elle.
Mince voilà qu'il se met à pleuvoir ...
Clignements des yeux, une grimace, elle porte une main sur sa joue et prend conscience qu'elle est humide. Humide????
Une odeur lui chatouille le nez... ça sent bon ...et pourtant elle a encore envie de dormir !!
Dormir .. se reposer.... ben non elle ouvre les yeux et quoi?
Elle se redresse surprise de voir Bb là, tout dégoulinant de flotte.
Elle se frotte les yeux... elle rêve pas il est bien là devant sa couche.
- Ben quoi? Ma couche est trop petite y a pas de place pour qui que ce soit hein. T'as la tienne après tout. T'as fait un cauchemar? Si c'est ça t'es un homme , t'as pas peur et je te ferais pas te faire de câlin. Mais.... pourquoi t'es trempé au fait?
Il était temps de prendre un peu de bon temps après des mois passés à " nettoyer " les routes du Languedoc, défendre la capitale aux côtés de son amie qu'elle appelle Sali. Sa compagne d'armes ...
Fidèle au comte de Lortz la rousse n'aime pas qu'il parte sans elle. Non pas fidèle d'amour, Klo avait fermé son cœur pour ne plus avoir à souffrir, mais cela fait des années qu'elle suit ce roux et une amitié sincère était née entre eux à force du temps , une amitié à laquelle elle tient particulièrement.
Accompagnée de son amie, Alizée, la Marciac, elles prennent la direction d'Uzés rejoindre rouquin comme elle aime à appeler ainsi Bébé Raide !
Marciac est ravie et ne se fait pas prier pour rassembler ses petites affaires et prendre la route. Elles débarquent donc à Uzés et cherchent Bb. Elles ne mettent pas longtemps à débusquer le bonhomme. Klo lui trouve une mine fatiguée mais elle ne dit rien pour pas se faire envoyer sur les roses. Il a son caractère, elle a le sien et pas des moindres. Quoique souvent, quand elle lui dit des choses elle n'est plus étonnée de le voir filé la plantant sans rétorquer. Il donne ses directives et le petit groupe prend la route à nouveau .... changement de dernière minute.... Klo déteste les changements de dernière minute surtout s'ils sont annoncés dans la soirée alors qu'elle s’apprête à prendre la route, à croire qu'il a besoin de sa dose de râles façon Klo quotidienne parce que oui la rousse râle, non pas pour le changement mais pour l'heure tardive à laquelle elle est avertie de ce changement.
Donc changement de dernière minute, ils vont partir en bateau.
Direction Lyon avec une Alizée plus que ravie, elle adore l'eau et rêve d'avoir son propre bateau. Klo est de son côté ravie de la voir toute souriante. Elles en profitent toutes deux pour pêcher. Klo taquine son amie, lui dit qu'elle ne remontera qu' une botte toute usée de la flotte. Mais le lendemain Alizée toute fière pointe son poisson la bouche presqu'en cœur, et Klo elle remonte que dalle. On peut pas être douée en tout non plus, de plus elle ne sait pas cuisiner et l'aurait rejeté à la flotte ce pauvre poisson.
Lyon.... rien à manger , des histoires de guerre. Ils en sortent et ça parle de remettre ça , rejoindre Sali pour prêter main forte ... pourquoi pas... la rousse n'est pas à une bataille prés après tout et son amie semble vouloir suivre aussi.
Bien non, il est prévu de partir en Berry pour elle ne sait quoi. Récupérer quelqu'un. L'ours roux n'est jamais très explicite.
Le Berry .. " T'aimes pas le Berry? " Bizarre la question du Lortz. Vous arrivez en Berry, on vous envoie un courrier avec un tas de questions du douanier :
" J'ai le plaisir de vous informer que le voyage en Berry est libre." Non sans blagues !!!
"Cependant, suite aux prises de Saint-Aignan et de Châteauroux par des brigands angevins organisés en lances et corps d'armes, notre duché n'accepte les lances et corps d'armes qu'avec un Laisser-Passer délivré soit par notre Capitaine messire Alekine, soit par notre duchesse Asterie, soit par notre Prévost dame Nevada_. " Mince c'est pas de bol ça !
"J'espère que votre séjour se passera au mieux. D'ailleurs pourquoi ne pas faire une halte de quelques jours à Bourges, voire même vous y installer ? Notre Berry, c'est le Paradis ! " Non mais il est sérieux lui?
Bla bla bla blaaaaa ..... et blabla bla bla...et bla bla bla bla bla ... Un bon garçon ce douanier
Chiffonnement du courrier , la rousse le jette par dessus son épaule. Bb aura certainement répondu pour le groupe. Si elle devait un jour quitter son Languedoc elle ne choisira surement pas ce duché au vu de ce qui s'y trouve...
Après le Berry ... Blois ... pétage de plomb, mauvaise communication. On part quand?
Ce qui devait arriver arriva... elles suivent pas ! Non pas pour leur plaisir mais parce qu'elles ne savaient pas qu'il fallait suivre. La plume court sur les parchemins , les pigeons vont et viennent ...
Pigeon de Bb " Tête de pioche !! T'as pas suivit !!!"
Pigeon de Klo " T'as qu'à écrire !! Merde hein !! on sait jamais ce qu'on fait à l'avance "
Pigeon de Bb " Je t'ai dit repos et on bouge. Tu m'as répondu ok donc demain on bouge; c'est que tu avais compris!"
Bla bla bla !!
Pigeon de Klo " Sauf que je trouve normal qu'on ait un rappel. Là rien pour confirmer du coup moi et Ali on a pas suivi "
Pauvres pigeons .... Tours-Blois... Blois - Tours...
Pigeon de Bb " T'es plus blonde ! Normalement t'es censée avoir gagner en mémoire et intelligence."
Tssssss pour la peine la rousse reprend sa couleur naturelle.... divine blondeur !
La rousse grogne, l'autre blonde râle. Blondes power !! Rouquin en minorité contre les blondissimes rageuses. C'est quand que tu fais les choses bien Bb bordel ?????
Tours nous voici nous voilà. Réintégration du groupe. Tiens Led n'est plus là. Petit parchemin d'accueil de l'ours roux :
" demande l'adhesion a mon groupe et suit ce soir.
on va à Chinon, puis Saumur.
Saumur une pose d'une journée et ensuite faudra suivre pendant une semaine.
Je ferais des rappels "
Comme quoi râler porte ses fruits.
Saumur, l'Anjou ... la blonde grimace, quelques souvenirs dont un plus paticulièrement désagréable. Quelques personnes sympathiques, d'autres plus désagréables. Saumur n'est plus ce qu'elle avait connu lors de son passage il y a longtemps, c'est une ville aussi vide que bien d'autres qu'elle retrouve. Mais elle s'en moque , ils reprennent la route le soir même pour .... se retrouver à nouveau en Touraine.
C'est quoi déjà le but du voyage???
Sali tu me manques !!
La mer.... le soleil... les odeurs de thym, de lauriers, de poissons , la blonde étendue sur sa couche enroulée dans une couverture dort d'un sommeil paisible. Respiration régulière elle est entrain de rêver à son Languedoc ... Son épée à portée de main, sa dague sous l'oreiller, elle a toujours ses armes avec elle.
Mince voilà qu'il se met à pleuvoir ...
Clignements des yeux, une grimace, elle porte une main sur sa joue et prend conscience qu'elle est humide. Humide????
Une odeur lui chatouille le nez... ça sent bon ...et pourtant elle a encore envie de dormir !!
Dormir .. se reposer.... ben non elle ouvre les yeux et quoi?
Elle se redresse surprise de voir Bb là, tout dégoulinant de flotte.
Elle se frotte les yeux... elle rêve pas il est bien là devant sa couche.
- Ben quoi? Ma couche est trop petite y a pas de place pour qui que ce soit hein. T'as la tienne après tout. T'as fait un cauchemar? Si c'est ça t'es un homme , t'as pas peur et je te ferais pas te faire de câlin. Mais.... pourquoi t'es trempé au fait?
Klorysse- Soldat
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